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Bibliothèqueet Archives nationales du Québec. Montréal : [La presse],1884-2017. Télé+, La Presse est un grand quotidien montréalais publié depuis 1884. L'influence des journalistes de La Presse s'étend aujourd'hui au-delà du lectorat du journal et plusieurs d'entre eux sont invités à commenter l'actualité dans d'autres médias
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nonton the walking dead season 11 episode 17. Philippe Dumat dans Le Voleur de feuilles 1983 Philippe Dumat est un acteur français, né le 4 mars 1925 à Neuilly-sur-Seine et décédé, à l'âge de 80 ans, le 11 janvier 2006 à Saint-Cloud[1]. Pratiquant également le doublage, il a été la voix française de Donald Pleasence, Alec Guinness Obi-Wan Kenobi dans la première trilogie Star Wars et Kenneth Mars pour le rôle d'Otto Mannkusser dans la série télévisée américaine Malcolm. Au sein de l'animation, il est aussi très connu pour avoir prêté notamment sa voix au prince Jean dans le film d'animation Robin des bois, Satanas dans la série Les Fous du volant, Gargamel dans Les Schtroumpfs ainsi qu'à Balthazar Picsou dans la série La Bande à Picsou de 1987 et dans les films Le Trésor de la lampe perdue et Le Noël de Mickey 1er et 2e doublage. Biographie[] Philippe Dumat commence une carrière de comédien en 1943 à Paris, puis en province. En 1956, il intègre la troupe des Branquignol de Robert Dhéry[2], aux côtés entre autres de Colette Brosset, Jacques Legras, Pierre Tornade et occasionnellement Louis de Funès, avec laquelle il joue Pommes à l'anglaise puis La Plume de ma tante à Londres. De 1967 à 1997, il interprète toutes sortes de personnages dans des pièces radiophoniques pour la Radio Nederland francophone des Pays-Bas[3]. Il joue dans une douzaine de pièces filmées à la télévision pour la fameuse émission Au théâtre ce soir, ainsi que de nombreux petits rôles au cinéma. Marié à la comédienne Nicole Vervil, c'est celle-ci qui lui fait découvrir le doublage à la fin des années 1950. Il en devient rapidement une star », prêtant sa voix à de nombreux méchants de dessins animés comme Satanas dans la série Les Fous du volant, Gargamel dans Les Schtroumpfs[4], le prince Jean dans Robin des Bois ou Snoops dans Les Aventures de Bernard et Bianca. Il double le caractériel Balthazar Picsou dans La Bande à Picsou, mais aussi des personnages plus nuancés comme Philip Drummond Conrad Bain dans Arnold et Willy, le sergent Schultz dans Papa Schultz, John Bosley David Doyle dans Drôles de dames ou Obi-Wan Kenobi Alec Guinness dans la première trilogie Star Wars. D'avril 2001 à sa mort en 2006, il a été la voix-off principale de la station de radio Rire et Chansons. Théâtre[] 1946 La Route des Indes de Jacques Deval d'après Ronald Harwood, théâtre des Ambassadeurs 1953 La Petite Hutte d'André Roussin, mise en scène de l'auteur, théâtre des Célestins 1954 Souviens-toi mon amour d'André Birabeau, mise en scène Pierre Dux, théâtre Édouard VII 1955 Témoin à charge d'Agatha Christie, mise en scène Pierre Valde, théâtre Édouard-VII 1958 Pommes à l'anglaise de Robert Dhéry, Colette Brosset, musique Gérard Calvi, théâtre de Paris 1958-1959 L'Enfant du dimanche de Pierre Brasseur, mise en scène Pierre Valde, théâtre Édouard-VII, puis théâtre de Paris 1960 Impasse de la fidélité d'Alexandre Breffort, mise en scène Jean-Pierre Grenier, théâtre des Ambassadeurs 1960 La Voleuse de Londres de Georges Neveux, mise en scène Raymond Gérôme, théâtre du Gymnase 1962 Bichon de Jean de Letraz, mise en scène Jean Meyer, théâtre Édouard-VII 1964 Le Troisième Témoin de Dominique Nohain, mise en scène de l'auteur, théâtre de l'Ambigu 1966 Drôle de couple de Neil Simon, mise en scène Pierre Mondy, théâtre de la Renaissance 1966 Vacances pour Jessica de Carolyn Green, mise en scène Edmond Tamiz, théâtre Antoine 1970 SOS homme seul de Jacques Vilfrid, mise en scène Michel Vocoret, théâtre des Célestins 1971 La main passe de Georges Feydeau, mise en scène Pierre Mondy, théâtre Marigny 1972 La Camisole de Joe Orton, mise en scène Jacques Mauclair, Petit Théâtre de Paris 1976 Duos sur canapé de Marc Camoletti, mise en scène de l'auteur, théâtre Michel 1979-1980 La Bonne Soupe de Félicien Marceau, mise en scène Jean Meyer, théâtre des Célestins puis théâtre Marigny 1979 Le Tour du monde en quatre-vingts jours de Pavel Kohout d'après Jules Verne, mise en scène Jacques Rosny, théâtre des Célestins Filmographie[] Cinéma[] 1957 Reproduction interdite de Gilles Grangier un ami de Claude et Viviane 1959 Archimède le clochard de Gilles Grangier un agent cycliste 1959 Les Livreurs de Jean Girault 1959 La Bête à l'affût de Pierre Chenal 1960 Le Trou de Jacques Becker 1961 L'Imprévu d'Alberto Lattuada le conducteur 1961 En votre âme et conscience ou Jugez les bien de Roger Saltel Paul 1961 Les lions sont lâchés de Henri Verneuil l'homme au ballet 1961 La Belle Américaine de Robert Dhéry un employé de la station service 1962 La Salamandre d'or de Maurice Régamey 1963 Les Bricoleurs de Jean Girault 1963 Pouic-Pouic de Jean Girault M. Morrison 1964 Les Parapluies de Cherbourg de Jacques Demy le client du garage 1964 Faites sauter la banque ! de Jean Girault le commissaire 1964 La Peau douce de François Truffaut le directeur du cinéma de Reims 1964 Jaloux comme un tigre de Darry Cowl 1964 Les Gorilles de Jean Girault Frank Danlevent 1968 Le Petit Baigneur de Robert Dhéry le joueur de tambour de la fanfare 1969 L'Américain de Marcel Bozzuffi 1970 Céleste de Michel Gast Bonneval 1972 Le Château de Eberhard Schröder 1973 Prenez la queue comme tout le monde de Jean-François Davy le père 1974 Les Gaspards de Pierre Tchernia 1974 Q de Jean-François Davy Edgar 1974 ... Et mourir de désir de Jean Bastia Sellier 1975 L'Intrépide de Jean Girault le photographe 1976 L'Année sainte de Jean Girault 1977 Le mille-pattes fait des claquettes de Jean Girault 1983 Le Voleur de feuilles de Pierre Trabaud le poissonnier Télévision[] Téléfilms[] 1963 Skaal Frédo 1976 Le Comédien l'auteur 1977 Ne le dites pas avec des roses M. Lafoy 1980 Jean sans Terre l'orateur 1980 Le Vol d'Icare M. Maîtretout Séries télévisées[] 1962 L'inspecteur Leclerc enquête, épisode Signé Santini l'expert 1967 Les Cinq Dernières Minutes Saison 1, Épisode 42 Finir en beauté de Claude Loursais l'employé des pompes funèbres 1969 Laure 1970 Vive la vie, épisode 15 de la saison 3 Carlier 1973 Molière pour rire et pour pleurer de Marcel Camus Thomas Corneille 1974 Malaventure, épisode Dans l'intérêt des familles le commissaire 1977 Banlieue sud-est 1977 Les Cinq Dernières Minutes, épisode Une si jolie petite cure le voyageur de commerce 1978 Gaston Phébus Le mire 1979 Histoires insolites, épisode Le Locataire d'en haut le cafetier 1980 Fantômas, épisode Le Mort qui tue 1980 L'Aéropostale, courrier du ciel Laurent Aynac Au théâtre ce soir[] 1969 Une femme ravie de Louis Verneuil, mise en scène Robert Manuel, réalisation Pierre Sabbagh, théâtre Marigny 1969 Bichon de Jean de Létraz, mise en scène Robert Manuel, réalisation Pierre Sabbagh, théâtre Marigny 1970 L'amour vient en jouant de Jean Bernard-Luc, mise en scène Michel Roux, réalisation Pierre Sabbagh, théâtre Marigny 1971 La Collection Dressen de Harry Kurnitz, adaptation Marc-Gilbert Sauvajon, mise en scène Jacques-Henry Duval, réalisation Pierre Sabbagh, théâtre Marigny 1972 La Main passe de Georges Feydeau, mise en scène Pierre Mondy, réalisation Pierre Sabbagh, théâtre Marigny 1972 L'École des contribuables de Louis Verneuil et Georges Berr, mise en scène Robert Manuel, réalisation Pierre Sabbagh, théâtre Marigny 1975 Inspecteur Grey d'André Faltianni et Alfred Gragnon, mise en scène Robert Manuel, réalisation Pierre Sabbagh, théâtre Édouard VII 1976 Le Monsieur qui a perdu ses clés de Michel Perrin, mise en scène Robert Manuel, réalisation Pierre Sabbagh, théâtre Édouard-VII 1978 Le Locataire du troisième sur la cour de Jerome K. Jerome, mise en scène André Villiers, réalisation Pierre Sabbagh, théâtre Marigny 1978 Le Nouveau Testament de Sacha Guitry, mise en scène Robert Manuel, réalisation Pierre Sabbagh, théâtre Marigny 1979 Le Train pour Venise de Louis Verneuil et Georges Berr, mise en scène Robert Manuel, réalisation Pierre Sabbagh, théâtre Marigny 1980 La Maîtresse de bridge de Louis Verneuil, mise en scène Robert Manuel, réalisation Pierre Sabbagh, théâtre Marigny 1981 Le Traité d'Auteuil de Louis Verneuil, mise en scène Robert Manuel, réalisation Pierre Sabbagh, théâtre Marigny Voxographie[] Cinéma[] Films[] Donald Pleasence dans THX 1138 1970 SEN 5241 1er doublage Soldat bleu 1970 Isaac Q. Cumber Le Métro de la mort 1972 Inspecteur Calhoun Frissons d'outre-tombe 1974 Jim Underwood Attention, on va s'fâcher ! 1974 le docteur L'Ambassadeur Chantage en Israël 1984 le ministre de la Défense Eretz Phenomena 1985 le professeur John MacGregor La Rivière de la mort 1989 Heinrich Spaatz Casablanca Express 1989 Colonel Bats Laurence Olivier dans Le Limier 1972 Andrew Wyke Sherlock Holmes attaque l'Orient-Express 1976 le professeur Moriarty Un pont trop loin 1977 le docteur Jan Spaander Ces garçons qui venaient du Brésil 1978 Ezra Lieberman Alec Guinness dans La Guerre des étoiles 1977 Ben Obi-Wan Kenobi L'Empire contre-attaque 1980 Ben Obi-Wan Kenobi Le Retour du Jedi 1983 Ben Obi-Wan Kenobi La Route des Indes 1984 professeur Godbole Charles Durning dans Furie 1978 le docteur Jim McKeener To Be or Not to Be 1983 colonel Erhardt Cop 1988 Dutch Peltz Séquences et conséquences 2000 George Bailey Eli Wallach dans Comment voler un million de dollars 1966 Davis Leland Les Quatre de l'Ave Maria 1968 Cacopoulos Terreur dans la montagne 1973 Frank Enari Robert Hardy dans Harry Potter et la Chambre des secrets 2002 Cornelius Fudge Harry Potter et le Prisonnier d'Azkaban 2004 Cornelius Fudge Harry Potter et la Coupe de feu 2005 Cornelius Fudge Lionel Jeffries dans Les Premiers Hommes dans la Lune 1964 Joseph Cavor Le Grand Départ vers la Lune 1967 Sir Charles Dillworthy Jack Albertson dans L'Homme à tout faire 1964 Lou L'Aventure du Poséidon 1972 Manny Rosen Keenan Wynn dans La Grande Course autour du monde 1965 Hezekiah La Pluie du diable 1975 le shérif Owens Jason Wingreen dans Petit guide pour un mari volage 1967 Harry Johnson La Valse des truands 1969 le gérant du magasin photo Benson Thorley Walters dans La Seconde Mort d'Harold Pelham 1970 Frank Bellamy Le Frère le plus fûté de Sherlock Holmes 1975 Dr Watson Terry-Thomas dans L'Abominable Dr Phibes 1971 docteur Longstreet Le Caveau de la terreur 1973[5] Arthur Critchit Roy Kinnear dans Le Joueur de flûte 1972 le maire La Coccinelle à Monte-Carlo 1977 Quincey Lou Jacobi dans Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur le sexe sans jamais oser le demander 1972 Sam Cheeseburger film sandwich 1987 Murray dans Murray in Videoland M. Emmet Walsh dans Serpico 1973 chef Gallagher Zig Zag, l'étalon zébré 2005 Woodzie Sydney Lassick dans Vol au-dessus d'un nid de coucou 1975 Charlie Cheswick Carrie au bal du diable 1976 M. Fromm Geoffrey Keen dans Rien que pour vos yeux 1981 Sir Frederick Gray Dangereusement vôtre 1985 Sir Frederick Gray Jack Warden dans Le Verdict 1982 Michael Morrisset Crackers 1984 Garvey Robert Prosky dans Le Meilleur 1984 le juge Horizons lointains 1992 Daniel Christie John Meillon dans Crocodile Dundee 1986 Walter "Wally" Reilly Crocodile Dundee 2 1988 Walter "Wally" Reilly Peter Michael Goetz dans Jumpin' Jack Flash 1986 M. Page Le Père de la mariée 2 1995 John MacKenzie Robert Brown dans Tuer n'est pas jouer 1987 M Permis de tuer 1989 M 1935 Bons pour le service le sergent-major Finlayson James Finlayson 1940[6] Le Dictateur M. Mann Bernard Gorcey 1940[7] L'Oiseau bleu M. Luxueux Nigel Bruce 1951 L'Homme au complet blanc Crawford 1957 L'Homme de l'Arizona Ed Rintoon Arthur Hunnicutt 1959 Un coup fumant le peintre copiste Guido Martufi 1959 Une balle signée X Wilson Harold Goodwin 1959[8] Darby O'Gill et les Farfadets Darby O'Gill Albert Sharpe 1960 Le Grand Sam Lena Nordquist Karl Swenson 1960 Le Voyeur le client âgé Miles Malleson 1961 Les Cavaliers de l'enfer Crip Vic Morrow 1963[6] Le Corbeau Dr. Adolphus Bedlo Peter Lorre 1964 Les Jeux de l'amour et de la guerre le premier-maître Paul John Crawford 1964[9] Le Masque de la mort rouge Scarlatti Peter Whitsun-Jones 1964 La Fureur des Apaches Mike Greer Jones 1964 La Tombe de Ligeia le ministre à Graveside Ronald Adam 1964 Les Cavaliers rouges Sam Hawkins Ralf Wolter 1965 Le Docteur Jivago un milicien 1966 Le Crépuscule des aigles The Blue Max un lieutenant de la 11e escadrille 1966 Paradis hawaïen Danny Kohana James Shigeta 1966 La Blonde défie le FBI Homer Cripps Paul Lynde 1966 Les Colts de la violence le juge Waldorf Charles Angel 1966 La Diligence vers l'Ouest Jerry Hal Lynch 1967 Tony Rome est dangereux Jules Langley Lloyd Gough 1967 La Reine des Vikings Tibérion Niall McGinnis 1967 Une fille nommée Fathom colonel Douglas Campbell Ronald Fraser 1967 La Gnome-mobile Horatio Quaxton Sean McClory 1967 T'as le bonjour de Trinita le juge Joseph Gino Pernice 1967 Le Pistolero de la rivière rouge Poney rouge Royal Dano 1967 Le Crédo de la violence Mr. Crawford Robert Cleaves 1967 L'Homme à la Ferrari Elpidio, le majordome 1967 Trois pistolets contre César le fonctionnaire réclamant 3000 $ de taxes 1967 Frankenstein créa la femme Dr. Hertz Thorley Walters 1968 2001, l'Odyssée de l'espace le père du Dr Poole Alan Gifford 1968 Bandolero! Mace Bishop James Stewart 1968 L'Étrangleur de Boston Peter Hurkos George Voskovec 1968 La Mafia fait la loi Pizzuco Nehemiah Persoff 1968 Piège à San Francisco O'Hara Don Hanmer 1968 On achève bien les chevaux Tony Turkey Al Lewis 1968 La Nuit du lendemain Wally Jesse Hahn 1968 La Déesse des sables Harry George Sewell 1968 Les Hommes de Las Vegas le chef de partie au casinoQui 1968 La Femme en ciment l'organisateur des pompes funèbres Mac Robbins 1968 Les Bérets verts lieutenant Jamison Patrick Wayne 1968 La Brigade des cow-boys Greybeard Bing Russell 1968 Le Détective David ModèleCitation Schoenstein Jack Klugman 1969 Les Géants de l'Ouest M. McCartney Dub Taylor 1969 Willie Boy Meathead Lee De Broux 1969 Hello, Dolly! le policier du parc J. Pat O'Malley 1969 La Mutinerie le sous-directeur John Fisk Jerry Thompson 1969 Le Capitaine Nemo et la ville sous-marine Barnaby Bath Bill Fraser 1970 Tora ! Tora ! Tora ! Kichisaburo Nomura Shogo Shimada 1970 Love Story le révérend Blauvelt Andrew Duncan 1970 Darling Lili Carstairs Lance Percival 1970 De l'or pour les braves Crapgame Don Rickles 1970 La Cité de la violence Coogan, le tueur Goffredo Unger 1970 Escapade à New York l'employé de l'église Lenny Myers 1970 Melinda Warren Pratt Larry Blyden 1970 Le Clan des McMasters Sylvester Neil Davis 1970 Trop tard pour les héros capitaine Hornsby Denholm Elliott 1971 L'Apprentie sorcière Pr. Emilius Browne David Tomlinson 1er doublage 1971 Klute Peter Cable Charles Cioffi 1971 Les Chiens de paille Major John Scott McKenna 1971 La Maison qui tue Stoker John Bryans 1971 Et viva la révolution ! Général Huerta Eduardo Fajardo 1971 Marie Stuart, Reine d'Écosse Duc François de Guise Vernon Dobtcheff 1971 Le Chat à neuf queues ModèlePr Fulvio Terzi Tino Carraro 1971 Confession d'un commissaire de police au procureur de la république le député LicanaQui 1972 Junior Bonner, le dernier bagarreur Buck Roan Ben Johnson 1972 La Fureur de vaincre le représentant du consulat Chin Chun 1er doublage 1972 Et maintenant, on l'appelle El Magnifico le directeur de la prison Pupo de Luca 1972 Joe Kidd le maître d'Hôtel Dick Van Patten 1972 Les Quatre Malfrats le lieutenant Hoover William Redfield 1972 Alerte à la bombe Robert Grandig John Fielder 1972 L'Apache le prospecteur Woodrow Chambliss 1972 Frenzy Neville Salt George Tovey 1973 Mon nom est Personne le conducteur du train Franco Angrisano 1973 Le Piège détective Brunskill Peter Vaughan 1973 Mondwest Gardner Lewis Robert Nichols / un superviseur Orville Sherman / le chevalier du Moyen Âge Norman Bartold 1973 Shaft contre les trafiquants d'hommes Perreau Jacques Herlin 1973 Le Privé Dave dit ModèleCitation David Carradine 1974 Frankenstein Junior le geôlier sadique Oscar Beregi Jr. 1974 Le Crime de l'Orient-Express Hercule Poirot Albert Finney 1974 Flesh Gordon ModèlePr Gordon John Hoyt 1974 Un nouvel amour de coccinelle le médecin d'Alonzo Hawk Liam Dunn 1974 Plein la gueule le prêtreQui 1975 Les Dents de la mer Ben Meadows Carl Gottlieb 1er doublage 1976 Un cadavre au dessert Milo Perrier James Coco 1976 Marathon Man Le diamantaire Harry Goz 1976 Centre terre, septième continent le docteur Abner Perry Peter Cushing 1977 Un espion de trop père Stuart Diller Iggie Wolfington 1977 Annie Hall ModèleM.. Singer Mordecai Lawner 1977 Drôle de séducteur oncle Harry Carl Ballantine 1977 Le Bison blanc Amos Bixby Douglas Fowley 1977 Un vendredi dingue, dingue, dingue le laveur de tapis Marvin Kaplan et M. Jackman Fritz Field 1977 L'Arc sacré Plume d'argent John War Eagle 1978 Piranhas ModèleMr. Dumont Paul Bartel 1978 FIST le sénateur Andrew Madison Rod Steiger 1978 Têtes vides cherchent coffres pleins Vinnie Costa Allen Garfield 1978 Mon nom est Bulldozer Max dit ModèleCitationQui 1979 L'Évadé d'Alcatraz Litmus Frank Ronzio 1979 L'Ultime Attaque Sir Henry Bartle Frere John Mills 1979 Quintet Grigor Fernando Rey 1979 Le Cavalier électrique voix de la publicité 1979 Yanks l'animateur de la soirée du réveillon 1979 Les Joyeux Débuts de Butch Cassidy et le Kid le shérif Ray Bledsoe Jeff Corey 1980 Elephant Man l'homme qui accompagne les prostituées David Ryall 1980 Kagemusha, l'ombre du guerrier Masakage Yamagata Hideji Ōtaki 1980 The Blues Brothers le père de la table voisine de Chez Paul Ben Piazza 1980 Le miroir se brisa 1980 Caddyshack Al Czervik Rodney Dangerfield 1981 Bandits, bandits l’Être suprême Ralph Richardson 1981 Excalibur un druide 1981 Chasse à mort Bill Henry Beckman 1981 La Folle Histoire du monde le porte-parole Howard Morris 1981 La Maison du lac Norman Thayer Henry Fonda 1981 Les Voisins Earl Kreese John Belushi 1981 Deux filles au tapis le docteur de la geisha Alvin Hammer 1981 Le Prince de New York le procureur Polito James Tolkan 1981 Blow Out un journaliste TV Dick McGarvin 1982 Creepshow Upson Pratt E. G. Marshall 1982 Annie Franklin Delano Roosevelt Edward Herrmann 1982 Les cadavres ne portent pas de costard Edward Arnold images d'archives 1982 Meurtres en direct Harvey Robert Webber 1982 The Toy Barkley Wilfrid Hyde-White 1982 Annie Franklin Delano Roosevelt Edward Hermann 1983 Jamais plus jamais le docteur à Shrublands Michael Medwin 1983 L'Étoffe des héros Lyndon Baines Johnson Donald Moffat 1983 Christine George LeBay Roberts Blossom 1983 La Quatrième Dimension Léo Conroy Bill Quinn 1983 La Valse des pantins lui-même Ed Herlihy 1983 Les Aventuriers du bout du monde Charlie Shane Michael Sheard 1983 Gorky Park Iamskoy Ian Bannen 1983 Le Dernier Testament Henry Abhart Leon Ames 1983 Tonnerre de feu Fletcher David Sheiner 1983 Halloween 3 Conal Cochran Dan O'Herlihy 1983 Eureka Jack McCann Gene Hackman 1984 Johnny Dangerously Burr Danny DeVito 1984 Attention les dégâts le directeur de l'agence des sosies Harold Bergman 1984 L'Enfer de la violence Dr. Clement Molloch Joseph Maher 1985 Cocoon Joseph Finley Hume Cronyn 1985 Les Super-flics de Miami le chef de police Tom Tanney C. B. Seay 1986 Delta Force Général Woodbridge Robert Vaughn 1986 La Petite Boutique des horreurs M. Mushnik Vincent Gardenia 1986 F/X, effets de choc le colonel Mason Mason Adams 1986 Armé et dangereux le capitaine Clarence O'Connell Kenneth McMillan 1986 Dakota Harris Savage Max Phipps 1986 Shanghai Surprise Willie Tuttle Richard Griffiths 1987 Le Flic de Beverly Hills 2 John Taggart John Ashton 1987 Radio Days le réalisateur du spot publicitaire David Cale 1987 Une chance pas croyable Franck George Carlin 1987 Dorf et le Golf Dorf Tim Conway 1987 Les Filous Gil Stanley Brock 1987 Angel Heart Ethan Krusemark Stocker Fontelieu 1987 Cheeseburger film sandwich Frankel Al Lohman / Steve Allen 1988 Élémentaire, mon cher... Lock Holmes le docteur Watson Ben Kingsley 1988 Maniac Cop Dr. Gruber Erik Holland 1988 À bout de course M. Phillips Ed Crowley 1988 Toscanini Leopoldo Miguez Nicolas Chagrin 1989 Vendredi 13, chapitre VIII L'Ultime Retour Charles McCulloch Peter Mark Richman 1990 Cabal capitaine Eigerman Charles Haid 1990 Sundown Merle Bisby Sunshine Parker 1991 Bugsy Jack Dragna Richard C. Sarafian 1991 Lucky Luke Bowler Jack Caffrey 1991 Chucky 3 L'éboueur Terry Wills 1991 Jungle Fever Sonny Steven Randazzo 1991 Robin des Bois, prince des voleurs Kenneth Michael Goldie 1er doublage 1992 Singles Le maire Weber Tom Skerritt 1992 À chacun sa loi Phillip Chamberlin Roddy McDowall 1992 La Puissance de l'ange St. John John Gielgud 1992 Storyville Pudge Herman Chuck McCann 1992 Article 99 L'inspecteur-général Noble Willingham 1992 Un flingue pour Betty Lou Herrick Andy Romano 1993 Arizona Dream Leo Sweetie Jerry Lewis 1994 Le Flic de Beverly Hills 3 Oncle Dave Alan Young 1994 Corrina, Corrina Grandpa Harry Don Ameche 1995 Le Père de la mariée 2 John MacKenzie Peter Michael Goetz 1997 La Souris Le commissaire-priseur Ian Abercrombie 1997 Les Pleins Pouvoirs Sandy Loach, avocat de Sullivan Kenneth Walsh 1997 Air Force One Le général Andrew Ward Philip Baker Hall 1997 Le Mariage de mon meilleur ami Walter Wallace Philip Bosco 1999 La Momie Winston Havlock Bernard Fox 1999 Pleasantville Le réparateur TV Don Knotts 1999 Le Célibataire Roy O'Dell Hal Holbrook 2000 102 Dalmatiens le juge Timothy West 2005 Shérif, fais-moi peur M. Pullman Barry Corbin 2005 King Kong Manny William Johnson 2005 In Her Shoes Lewis Feldman Jerry Adler Films d'animation[] 1951 Alice au pays des merveilles la Chenille bleue 2e doublage 1973 Robin des Bois le prince Jean 1975 Tarzoon, la honte de la jungle le présentateur 1977 Les Aventures de Bernard et Bianca Snoops 1977 Peter et Elliott le dragon Hoagy 1er doublage 1978 La Folle Escapade Naravar 1er doublage 1979 Le Château de Cagliostro le valet du Comte 1er doublage 1981 Le Lac des cygnes Hans l'écureuil 1983 Le Noël de Mickey Picsou / Ebeneezer Scrooge 1983 Olivier et le Dragon vert Jonas / Dr. Zinzin 1985 Astérix et la Surprise de César le marchand d'esclaves 1985 Taram et le Chaudron magique le roi Bedaine 1er doublage / Dalben 2e doublage 1986 Basil, détective privé Dr David Q. Dawson 1988 Oliver et Compagnie Fagin 1990 La Bande à Picsou, le film Le Trésor de la lampe perdue Balthazar Picsou 1992 Freddie, agent secret le brigadier G 1992 Le Voyage d'Edgar dans la forêt magique Cornélius 1992 Rock-o-rico Rock-A-Doodle de Don Bluth Patou 1993 Les Mille et Une Farces de Pif et Hercule 1998 Fievel et le Trésor perdu Pr. Tatillon 1999 Babar, roi des éléphants Cornélius 2001 Joseph, le roi des rêves le marchand escroc 2002 Cendrillon 2 Une vie de princesse le fleuriste 2003 Frère des ours Edgar 2004 Team America, police du monde Hans Blix Télévision[] Téléfilms[] 1966[10] Un nommé Kiowa Jones Dobie Robert H. Harris 1987 Scoop M. Salter Denholm Elliott 1989 Le Tour du monde en quatre-vingts jours Fix Peter Ustinov 1996 La Légende d'Aliséa Azaret Christopher Lee 1998 Denis la Malice sème la panique M. Wilson Don Rickles 1999 La Mélodie de noël Jake Peterson Andy Griffith 1999 Docteur Quinn, femme médecin Une famille déchirée Loren Bray Orson Bean 2001 Appelez-moi le père Noël ! Nick Nigel Hawthorne 2001 Juge et Coupable ? le juge Harlan Radovich Charles Durning 2004 Allan Quatermain et la Pierre des ancêtres le prêtre Morne Visser Séries télévisées[] 1965 Ma sorcière bien-aimée oncle Arthur Paul Lynde 1965-1971 Papa Schultz le sergent Schultz John Banner 1965-1971 Les Arpents verts M. Haney Pat Buttram 1966 Batman, saison 2 le Pingouin Burgess Meredith 1972-1973 L'Aventurier M. Parminter Barry Morse 1973 Hawkins Billy Hawkins James Stewart 1974 1, rue Sésame Ernest 1974 La Planète des singes le conseiller Yalu Normann Burton 1975 Starsky et Hutch Sammy Growner Norman Fell Saison 1, Épisode 15 "Monty viendra à minuit" Clay Hiliard Richard Venture Saison 3 Épisode 13 "La Folie du jeu" Inspecteur Derrick 1975 - l'inspecteur Matthes Carl Möhner ép. 15, Une mauvaise réussite 1976 - le Dr Scheibnitz Ernst Schröder ép. 16, La mort du colibri 1976 - Ewald Malenke Hans Korte ép. 19, Quand les oiseaux ne chantent plus 1976 - Werner Solms Ernst Schröder ép. 25, Bienvenue à bord 1981 - Alfred Answald Herbert Fleischmann ép. 82, Une vieille histoire 1984 - Joachim von Haidersfeld Herbert Fleischmann ép. 109, La jeune fille en jean 1985 - Heffner, le comptable Klaus Höhne, Kellner Kajus, le serveur Hans Stadtmüller ép. 129 , Un cadavre sur les bras 1976-1981 Drôles de dames John Bosley David Doyle 1976-1977 Holmes et Yoyo Harry Sedford Bruno Kirby 1977-1981 Huit, ça suffit ! Tom Bradford Dick Van Patten 1978-1986 Arnold et Willy Philip Drummond Conrad Bain 1978-1983 La croisière s'amuse Cyrus Foster / Buddy Redmond / Jimmy Red Buttons 1979 Terreur à bord Max Dechambre Donald Pleasence 1982 X-Or Tancrédus Kenji Ushio 1983 Manimal le professeur Barta Rick Jason / Clancy Morgan Keenan Wynn 1986-1992 Matlock Ben Matlock Andy Griffith 1989 Arabesque Paul Robbins Ralph Waite 1989 Hercule Poirot, épisode La mort avait les dents blanches le dentiste de Poirot 1993-1998 Docteur Quinn, femme médecin Loren Bray Orson Bean 1994-1996 X-Files Aux frontières du réel Garrett Lore Roger Allford / Tarek Solamon Alex Diakun 1995 Sliders Les Mondes parallèles Capitaine Jack Brim Chuck McCann 1996 Les oiseaux se cachent pour mourir Les Années oubliées le juge Jack Thompson 1997 Inspecteur Barnaby Steven Wentworth Richard Briers 1997 Stargate SG-1 Moughal Soon-Tek Oh 1998 Les Chevaliers de Tir Na Nog Fin Varra Peadar Lamb 1998-2000 Les Anges du bonheur ModèleM. Miller Oscar Rowland 1998 New York, police judiciaire ModèleM. Dobbs Philip Bosco 2000 Hercule Poirot, épisode Le Meurtre de Roger Ackroyd 2000 Stargate SG-1 Urgo/Togar Dom DeLuise 2000-2006 Malcolm Otto Mannkusser Kenneth Mars 2000-2001 Roswell le juge Lewis Robert Katims 2001-2002 À la Maison-Blanche Albie Duncan Hal Holbrook 2001 Farscape Scorpius/Harvey Wayne Pygram 2001 Preuve à l'appui Pat Donnelly Stanley Anderson 2002 New York, unité spéciale Monseigneur Mallinson Patrick Collins 2002 First Monday Henry Hoskins Charles Durning 2004 LAX Martin Bill Macy Séries d'animation[] 1950-1958 Casper le gentil fantôme le méchant fantôme et divers rôles secondaires 2e doublage 1954 La Princesse Grenouille le tsar 1958 Bozo le clown Bozo 1965 Oh ! Possum Chouchou le hibou 1966 Dino Boy Ugh 1966-1967 Laurel et Hardy Stan Laurel 1967 Samson et Goliath divers rôles secondaires 1969 Les Fous du volant Satanas 1969-1972 Pancho et Rancho Rancho 1970 Satanas et Diabolo Satanas 1970-1974 Dunderklumpen Biglouche 1970-1971 Les Harlem Globetrotters 1971 Les Trois Ours Cheuvelu 1971 L'Île au trésor le narrateur / le capitaine Smollet 1972 La Bataille des planètes 7 Zark 7 1973 Mini Mini détective Mini mini détective 1973 Autochat et Mimimoto Automatou 1974 Calimero Bobby le chien 1974-1976 The Dogfather The dogfather 1975 Scooby-Doo divers rôles secondaires 1976 Maître du monde Klem / Walker 1977 Balour et Balu Balu 1978 Goldorak Argoly / Hydro 1978 Mam'zelle Tom Pouce le criquet 1978 Puff, le dragon magique le professeur n°1 1979-1980 Sport Billy Sipes 1980-1985 Charlotte aux fraises Nuage-de-Lait / Papillon / Monsieur Popcorn 1980 Nucléa 3000 professeur Okanor / porte-parole du Royaume des 2 Chiens 1980 La Légende des 12 mois un soldat 1981 Capitaine Flam Cole Norton 1981 The Kwicky Koala le loup 1981 Shazam ! Oncle Dudley 1981 Onze pour une coupe Fiellock 1981 Les Trois Mousquetaires Jussac / Louis XIII 1982 Albator 84 divers rôles secondaires 1982 Rolling Star le Justicier le professeur 1983 Les Schtroumpfs Gargamel 1983 Téléchat Durallo / Duramou / Brossedur 1983-1985 Le Sourire du dragon le vieux maître 1984 Bibifoc Tampon / oncle Smoky 1984 Pole Position Zoltan 1984 Ferdy la fourmi le narrateur voix de remplacement 1984 Sherlock Holmes Moriarty 2e voix de remplacement, ép. 20 et 25 1984-1989 Les Snorky 1984-1985 Blondine au pays de l'arc-en-ciel Grisemine / Plock 1985-1987 Clémentine le roi Kanaga 1985-1987 Les Bisounours Groschéri voix de remplacement 1985 She-Ra, la princesse du pouvoir Sérénia / Dynamuk 1986 Alvin et les Chipmunks 1986 Ghostbusters filmation Diabulus 1986-1987 Les Petits Malins Gréguère le loup / Johnny le chien 1987 Mon petit poney Rep 1987-1990 La Bande à Picsou Picsou 1989 Babar Cornélius 1990 Peter Pan no Bouken le capitaine Crochet 1990 Le Bateau volant le tsar Nicolas / l'Archer à l'œil-perçant 1991 Cupido le ministre du bleu 1992-1993 Les Cow-Boys de Moo Mesa Bullowney 1993 La Légende de l'Île au trésor le capitaine Smolett 1994-1996 Détective Bogey / l'inspecteur / la libellule 1996 Montana Jones Nitro 1996 Jonny Quest Jérémiah Surd 1996 Urmel Findler 1998 Dilbert M. Pierrepont 1998 Les Aventures des Pocket Dragons le sorcier Schmaz 1999 Chris Colorado le gouverneur de Patanie 2000 Jackie Chan le Grand Mystique / M. McDowell 2000 Joyeuses Pâques, Avril ! le père Brodequin 2001-2004 Disney's tous en boîte J. Audubon Woodlore / Le prince Jean / le Magicien Jeux vidéo[] 2000 Les Fous du volants Satanas 2001 Les Fous du volant présentent Satanas et Diabolo Satanas Galerie[] Personnages animés[] Balthazar Picsou de 1983 à 1999 Notes et références[] ↑ Fiche de décès sur ↑ Cf. La Gazette du doublage ↑ Philippe Dumat à la radio ↑ Il aurait été choisi en personne par Peyo pour ce personnageModèleRéférence nécessaire ↑ Doublé seulement en 1985. ↑ 6,0 et 6,1 Doublé seulement en 1968. ↑ Doublé seulement en 1976. ↑ Doublé seulement en 1987. ↑ Doublé seulement en 1969. ↑ Doublé seulement en 1982. Liens externes[] Philippe Dumat] sur Malcolm France Philippe Dumat sur L'Encinémathèque" Philippe Dumat sur IMDb Voxographie partielle de Philippe Dumat sur Doublagissimo Voxographie sélective de Philippe Dumat séries sur Doublage Séries Database Biographie et voxographie sélective de Philippe Dumat animation sur Planète Jeunesse
5 mars 2012 1 05 /03 /mars /2012 1600 Scènes de ménages dans le chômeur et sa belle ! L'entreprise MyMajorCompany qui après avoir lancé des chanteurs comme Grégoire via les investissements des internautes se lancent dans la Bande Dessinée avec le Chômeur et et sa Belle et d’autres projets... Voilà 5 ans que Jacques Louis porte le projet depuis son blog et attend enfin de voir sa BD distribué dans les librairies ! Avant d'obtenir le soutien de 235 éditeurs sur MyMajorCompagny, il fallait qu’une maison d’édition franchisse le pas pour signer un contrat. C'est Benoît Fripiat, manifestement un visionnaire de génie de chez Dupuis, qui l'a fait. Après la maison d’édition, il fallait que les internautes investissent dans le projet et quel moment fort car en effet le projet fut un succès auprès des internautes qui au cours du mois d’octobre a gagné les 25 000 euros en une semaine. Le chômeur est la première BD financée sur le site en un temps record… L'avis de la Sélection Dupuis Ce n’est pas parce que l’auteur se prénomme Jacques et que sa Céline de compagne est mathématicienne que Le Chômeur et sa Belle » est une bande dessinée autobiographique ! Certains détails sont quasi complètement inventés ! A travers des pages de gags et des histoires courtes, Jacques Louis nous raconte la stupeur du jeune trentenaire qui, pour la première fois de sa vie, doit s’engager dans une relation sérieuse. Entre la mère du héros qui adore sa nouvelle belle-fille mais oublie son prénom mais jamais celui des ex de son fils, le copain punk qui vient s’installer dans le salon tout en vomissant le confort bourgeois ou l’ancienne fiancée de Jacques qui devient son agent et l’emmène à Londres pour exposer ses toiles, les situations sont criantes de vérité… pour tous les gens qui ont déjà vécu au moins quelques semaines en couple. Cette série familiale, lisible par tous, a déjà été très bien accueillie par le public du journal de Spirou dans lequel elle est publiée depuis l’été 2010. Humour, tendresse, émotions, coups de théâtre, personnages attachants… Jacques Louis nous propose une série riche et joyeusement impudique. Le Chômeur et sa Belle Genre Bande dessinée - humour, comédie familiale À propos Une BD de Jacques Louis scénario, dessin et couleurs L’histoire Entre Jacques, l’artiste au chômage, et Céline, la chercheuse en mathématiques, ce fut le coup de foudre ! Trois mois plus tard, les deux tourtereaux décident d’emménager ensemble ou pour être précis, Roudoudou » — pour les intimes — emménage dans l’appartement de Petite Bouclée »…. Entre l’éternel adolescent, un peu glandeur et grand fan de jeux vidéo et de junk-food, et la jeune femme, un peu maniaque, très gourmande mais obsédée par son poids, le bonheur est total. Mais de courte durée. Car le quotidien est impitoyable et va tout faire pour les éloigner l’un de l’autre. Comme si leurs caractères diamétralement opposés n’y suffisaient pas… Éditeur Dupuis - My Major Company BD Prix 10,60€ TTC Jacques Louis Né en 1984 à Etterbeek Bruxelles, d'un père illustrateur et d'une mère présidente d'un mouvement féministe, Jacques découvre la bande dessinée dès son plus jeune âge. A quinze ans, il commence des cours de BD avec Thierry van Hasselt, éditeur chez Fréon et excellent pédagogue. En 2004, il remporte le concours de la Communauté française de Belgique, ce qui lui vaut un chèque de 1000 euros mais surtout un voyage pour le festival de BD d'Angoulême. Il y présente quelques travaux d'étudiant et un projet de BD de science-fiction. La désillusion est complète, le travail est amplement décrié, mais les conseils sont constructifs. Chaque année, il retourne au Festival avec de nouveaux projets, et chaque année, il en revient bredouille. Il donne des cours de dessin pour survivre, mais l'essentiel de son temps, il le passe au chômage, tandis que sa compagne assume la plupart des frais du ménage. En 2007, Jacques décide de changer d'orientation, il arrête la S-F et crée un nouveau projet basé sur des dessins humoristiques autobiographiques qu'il réservait jusqu'ici à sa compagne, Céline. C'est ainsi que naît le blog "Roudoudou et Petite Bouclée". En 2009, il revient à Angoulême. Cette fois, son projet intéresse Benoît Fripiat, éditeur chez Dupuis. "Le Chômeur et sa Belle", satire sur le couple et fausse autobiographie de l'auteur, débarque dans le journal de Spirou en juillet 2010. Source MMC BD Une histoire dans l'air du temps Le chômeur et sa belle est dans l’air du temps et devrait plaire à une grande majorité de la population. Tous les amoureux de la série tv scènes de ménages vont plonger dans l’univers de jacques Louis et de son chômeur. Cette série familiale est déjà bien accueillit et promet. Une bande dessinée pleine d’humour, de tendresse et d’émotions. On s’attache aux personnages comme dans scènes de ménages et on les suit avec bonheur. On n’a pas envie que cette BD arrive à la fin ; on aimerait que la dernière page n’arrive pas. D’ailleurs, le tome 2 est déjà en préparation et on s’impatiente de voir arriver la suite… Pour la sortie de la bande dessinée, Jacques Louis sera au Salon du livre de Paris - Le samedi 17 mars de 13h à 16h et le dimanche 18 mars de 10h à 12h30 pour une séance de dédicace. - Puis il sera à Lyon les 24 et 25 mars Published by scoobidoo1 - dans Littérature 12 décembre 2011 1 12 /12 /décembre /2011 1551 1789, Les Amants de la Bastille 1789, les Amants de la Bastille est la nouvelle comédie musicale du duo Dove Attia/Cohen producteur du spectacle Mozart, l’opéra rock. Rod Janois interprète Camille Desmoulins, l’un des principaux interprètes des Amants de la Bastille. Son nom ne vous dit peut être rien et pourtant ses chansons sans aucun doute… Rod Janois est un artiste complet, à la fois auteur, compositeur et interprète. Déjà présent dans Le Roi Soleil », où il compose, avec William Rousseau, la chanson Tant qu’on rêve encore », on le retrouve également sur l’album de Mozart L’Opera Rock », où il cosigne, avec la bande des 5 que l’on retrouve encore pour ce spectacle Rod Janois, William Rousseau, Jean-Pierre Pilot, Olivier Schulteis et Dove Attia des titres comme Tatoue moi », L’assasymphonie » ou C’est bientôt la fin ». Rod Janois avec la bande des 5 compose la première chanson extraite du spectacle ça ira mon amour » qu’il interprète. Rod, toujours avec la bande des 5 », a activement participé à la composition des chansons de 1789, les amants de la Bastille » et en particulier la chanson Ca ira mon amour », premier single du spectacle, dont il est également l’interprète. Depuis seulement le mois octobre 2011, on nous dévoile les artistes de la troupe au fur et à mesure et depuis la fin du mois, le premier clip des révolutionnaires ça ira mon amour fait son apparition. Enfin, on peut déjà réserver ses places car le service de la billetterie est ouvert. Le spectacle débutera au Palais des Sports de Paris par une répétition générale ouvert au public à réserver le 29 septembre 2012 et commencera à se jouer dès le 10 octobre 2012… FICHE TECHNIQUE Titre "1789, les Amants de la Bastille" Production Dove Attia et Albert Cohen Mise en scène Giuliano Peparini Chorégraphie Giuliano Peparini Musique Rod Janois, Jean-Pierre Pilot, Olivier Schultheis, William Rousseau et Dove Attia Paroles Vincent Baguian et Dove Attia Répétition générale 29 septembre 2012 au Palais des Sports de Paris Première représentation du spectacle 10 octobre 2012au Palais des Sports de Paris Réalisation des chansons Rod Janois, Jean-Pierre Pilot, Olivier Schultheis, William Rousseau et Dove Attia CASTING Rod Janois Camille Desmoulins est l'ami de Lazare et de Danton. C’est un jeune écrivain fougueux et romantique, c’est la plume de la révolution. C’est lui qui introduira Lazare dans le monde des révolutionnaires du Palais Royal. Nathalia Solène est la sœur de Lazare. Camille Lou Olympe est la sous gouvernante des enfants royaux, fille du lieutenant du Roi à la Bastille. Roxane Le Texier Marie-Antoinette est reine de France. Mathieu Carnot Lazare est un jeune paysan et fils de fermier. Comédien non révélé Georges Jacques Danton est avocat, président du district des cordeliers. Il sera un de ces hommes d’action qui organiseront l’insurrection populaire contre le pouvoir de Versailles. Comédienne non révélée Charlotte est la gamine de Paris. La capitale est son royaume, Charlotte connaît tout et tout le monde la connaît et elle sera une amie et surtout un soutien précieux pour les deux amants. L’HISTOIRE En 1789, la famine et le chômage font rage et rendent la vie difficile partout en France. Malgré cela la cour de Louis XVI ne semble pas voir le désespoir de son peuple et continue de dépenser l’argent à Versailles. Sa légèreté mais aussi son insolence à ne pas entendre son peuple amène celui-ci à la révolte. Lazare est un jeune paysan révolté à qui l’on a retiré sa terre pour payer ses dettes ; marqué par les injustices, il décide de partir pour Paris pour conquérir la Liberté. Tandis que, Olympe, d’origine noblesse, est la gouvernante à Versailles des enfants du roi et de la reine et se consacre entièrement à Marie Antoinette, la reine souveraine. Ces deux personnes sont différentes par leur milieu d’origine et rien ne présager qu’une rencontre aurait lieu et pourtant… Leur histoire d’amour débutera en même temps que celle de la révolution française. Olympe et Lazare plongeront dans une trame de l’histoire mouvementée mais aussi romantique. Leur histoire est chaotique, faites d’embûches pour vivre leur passion amoureuse qui sera passionnante ; ils finiront par se perdre pour se retrouver par la suite. Ils accompagnent les plus hauts personnages de leur temps tels Danton le magnifique, Camille Desmoulins journaliste fougueux ou Jacques Necker l'austère ministre du Roi, et ils connaîtront les soubresauts de la Grande Histoire. Leur histoire d’amour les emmènera jusqu'au matin du 14 juillet 1789, au pied d'une des prisons les plus sombres et les plus mystérieuses de Paris, la Bastille, pour y vivre l'événement qui scellera à tout jamais leur destin mais aussi marquera l'émergence d'un monde nouveau, l'envol de nouvelles promesses de Liberté, et de fraternité entre les hommes. Le single est à peine sorti et le spectacle n’a pas commencé que les portes du succès s’ouvrent déjà avec des Pré-nominations aux NRJ Music Awards 2012 Le spectacle est prénominé aux NRJ Music Awards, avec cinq autres compétiteurs. Les internautes doivent voter pour n'en garder que quatre, avant d'élire le vainqueur. • Groupe / duo / Troupe française de l'année • Clip de l'année Un spectacle musical qui débute bien sa carrière et qui nous promet encore de belles choses… Published by scoobidoo1 - dans Spectacles 9 décembre 2011 5 09 /12 /décembre /2011 1021 Analyse et critique du livre "Persuasion" de Jane Austen Jane Austen est une romancière anglaise qui est née en 1775 et son dernier livre Persuasion a été écrit de son vivant. En deux mots, il s’agit d’un livre où elle tourne en dérision la société avec beaucoup d’humour. Le titre Persuasion du livre sera choisi par son frère après sa mort. Jane Austen Jane Austen nait en Angleterre en 1775 au sein d’une famille de pasteur au milieu de huit frères et sœurs. Leur éducation se fera principalement chez eux ; sa sœur Cassandra restera proche de Jane jusqu’à sa mort en 1817. Elle commence à écrire dès 11 ans, d’abord des parodies sentimentales puis des romans comme Raisons et sentiments, Orgueil et préjugés. Elle ne se mariera pas, tout comme sa sœur Cassandra, et participera à l’éducation de ses neveux et nièces. Elle ne connut pas de succès de son vivant, contrairement à aujourd’hui où ses œuvres font l’objet d’adaptation au cinéma à la télévision. Son dernier roman Persuasion sera publié à titre posthume puisqu’ à la suite d’une longue maladie, elle décède en nous laissant ce dernier magnifique livre. L’histoire Anne, la deuxième fille du baronnet Sir Walter Elliot, est une jeune femme de 28 ans, paisible et solitaire. Son seul regret est de ne pas avoir épousé il y a huit ans, Frédérick Wentworth, l'homme qu'elle aimait. Son excellente amie, Lady Russell, l'avait persuadée que cette union lui serait défavorable. Après une longue absence, Frédérick, devenu capitaine, est de retour. Il est riche, et cherche à se marier. Les prétendantes sont nombreuses et il feint d'ignorer Anne. Mais l'a-t-il vraiment oubliée ? Une société tournée en dérision et le choix du titre Jane Austen n’aime pas les conventions et même les ridiculise, mais sans froisser qui que ce soit. Persuasion, publié en 1818, suit les œuvres précédentes mais avec un ton un peu plus grave. Tous ses livres sont écrits à partir de ses propres expériences et ses héroïnes lui ressemblent. Dans Persuasion, elle y décrit une intrigue amoureuse entre Anne et Frederick qui se sont rencontrés, se sont aimés et se sont séparés. On s attache assez facilement à Anne par sa sensibilité et sa douceur. Bien sûr, Jane Austen nous donne sa vision de son époque sur la société victorienne avec ses défauts et ses habitudes. Elle tourne en ridicule toutes ces convenances et surtout de la position sociale en montrant l’ineptie des deux amoureux qui ne peuvent s’aimer. Son écriture, pour nous décrire tout cela, est simple, percutant, sérieux et drôle à la fois. On peut remarquer l’omni présence du thème de persuasion dans son roman. Seulement le titre Persuasion a été choisi par son frère Henry comme une conviction dans la langue de Shakespeare, bien que Jane Austen en avait choisi un autre qui était Ann Elliot ou l’ancienne inclination, qui semble être un choix plus judicieux lorsque l’on le lit. Le thème de persuasion est omni présent dans son roman ; d’ailleurs le mot persuasion sera employé à diverses reprises selon les lieux, les personnages et sous différentes significations. On se laisse porter par cette délicate histoire où l’héroïne qui repoussât son ancien amant le retrouve huit ans après. La description des personnages, tant sur le plan physique que psychologique, est bien faite. Jane Austen nous tient en haleine jusqu’à la fin, grâce à une intrigue bien ficelée, même s’il n’y a pas vraiment de doute sur une fin heureuse. Published by scoobidoo1 - dans Littérature 6 décembre 2011 2 06 /12 /décembre /2011 1301 Analyse et critique du livre "enfants terribles" de Jean Cocteau Jean Cocteau, célèbre artiste dans divers domaines, a écrit "Les enfant terribles" en 1929 et qui sera porter à l'écran plus tard en 1950. Il s'agit d’une histoire d’amour entre deux enfants, un frère et une sœur, inventée par eux dans leurs mondes imaginaires ; suite à une blessure qui impose le frère à rester enfermé dans sa chambre, ils s’échappent de la réalité sans y revenir. "Les enfants terribles" est un livre dramatique qui nous emmène dans un voyage rempli de sentiment. Jean Cocteau Le livre intitulé "Les enfants terribles" est un récit poétique, écrit par Jean Cocteau en 1929. Jean Cocteau est un écrivain français, né en1889 à Maison-Laffite et décédé en 1963 à Milly-la-Forêt. Il n’est pas seulement un célèbre écrivain, poète du XXème siècle, il pratiquera au cours de sa vie d’autres activités artistiques comme la dramaturge, le métier de cinéaste, la peinture avec le dessin, la lithographie, la céramique et la tapisserie avec le même talent que pour l'écriture. Après le succès de son livre, Jean Cocteau adapte le scénario avec la complicité de Jean-Pierre Melville pour permettre à ce dernier d’en réaliser un film en 1950. L'histoire Après avoir reçu une pierre cachée dans une boule de neige, Paul, blessé, doit rester cloitré dans sa chambre afin de reprendre des forces. Il ne quittera plus sa chambre. Accompagné de sa sœur Elisabeth, ils transformeront leur vie pour délaisser la réalité et se laisser porter dans des mondes imaginaires. Un voyage fantastique Jean Cocteau reste un immense poète. Ce roman écrit en 17 jours se lit d’une traite et à tout âge. Il ne faut pas confondre "Les enfants terribles" avec le livre intitulé "Les parents terribles" qui est une pièce de théâtre de 1938. Le livre et le film "Les enfants terribles" sont très complémentaires tous les deux. Lorsque celui-ci est porté à l’écran, il adapte le scénario pour qu’il reste assez proche de son roman. On peut donc lire son livre et y ajouter quelques images avec son film. C’est une histoire prenante que cet amour quasi-incestueux pour un frère et une sœur, cloitrés dans l’enfance et leur chambre, à la frontière des mondes invisibles… On part dans ce voyage fantastique à bord d’une chambre… Ce livre est plus beau que les autres, il devient comme une confidence, il a les libertés, les surprises du laisser-aller, il a les lumières de la fièvre, la fragilité du verre de la convalescence. En un mot Intemporel ! "Les enfants terribles" semble être plus un long poème en prose qu’un simple roman. Jean Cocteau, en étant à son sommet, nous emmène dans le monde de l’enfance marqué par le rêve, mais aussi la folie et surtout un magnifique amour. Une œuvre qui est à la fois dérangeante et originale. La logique n’a aucun intérêt ici ; comme le disait Cocteau "ne me demandez pas pourquoi". Il suffit juste de se laisser submerger par un océan d’émotions sans chercher à y trouver un quelconque message. Citation "Les privilèges de la beauté sont immenses. Elle agit même sur ceux qui ne la constatent pas". De Jean Cocteau. Les enfants terribles. Published by scoobidoo1 - dans Littérature 7 novembre 2011 1 07 /11 /novembre /2011 1100 Molière et l'évolution du théâtre Les comédiens au temps de Molière Au XVII è siècle, la majorité des acteurs sont ambulants, ils se produisent de ville en ville, emportant avec eux les décors. Ils utilisent au début du 17ème le décor multiple issu du théâtre médiéval avec des panneaux coulissants suivant la scène jouée ; les comédiens se déplaçant devant le panneau correspondant au texte. Ils se produisent dans la rue sur une simple estrade montée sur des tréteaux, une toile isole le fond de la scène de l’extérieur. Le public est debout et amassé devant l’estrade. Les costumes valent très chers ils sont la propriété de l’acteur. D’abord des vêtements de tous les jours pour les petites compagnies puis ils deviennent plus sophistiqués avec de riches tissus comme le velours, le satin la soie lorsque la compagnie s’enrichie. Il n’est pas rare que de riches seigneurs offrent leurs habits de cour à une troupe. Parfois il arrive même que des acteurs jouant des bergers soient vêtus comme des princes, ce qui peut créer quelques confusions. C’est Molière le premier qui va décider d’habiller les acteurs de manière à ce que le public les reconnaissent dès leur entrée en scène. Certaines troupes bénéficient de la protection d’un noble ou riche seigneur qui leur offre une salle de spectacle et une rente versement d’argent. C’est le cas de la troupe de Molière qui bénéficie du soutien du frère de Louis XIV ce qui lui permet de s’installer dans des salles de jeu de paume pendant plusieurs mois. Ainsi logée, la troupe peut aménager des balcons, des gradins pour le confort des spectateurs. Molière peut aussi en profiter pour écrire de nouvelles pièces en toute tranquillité. Le succès est tel que la troupe de Molière devient en 1665 la troupe du roi. Molière va se produire à Versailles, à Vaux le Vicomte devant le roi Louis XIV et sa cour. Au 17ème siècle les comédiens sont superstitieux, ils ne s’habillent jamais en vert la teinture étant toxique, nombreux comédiens sont morts. De même, siffler dans le théâtre et prononcer le mot corde » porte malheur. A l’époque, la scène était éclairée par des chandelles et le feu y prenait fréquemment. Les comédiens avaient donc installé au dessus de la scène, des sceaux d’eau pour combattre le feu. Au mot corde », les sceaux étaient vidés et la scène inondée rendant impossible le spectacle. Les différentes troupes se livraient des guerres » allant jusqu'à inciter les comédiens de la troupe adverse à quitter leur emploi, pouvant saboter le spectacle ou les décors, voler les manuscrits, dénoncer les comédiens pour vols pour dette … Le clergé censurait interdire aussi certaines pièces persuadé que le théâtre pervertissait était mauvais pour la société la société. La troupe de Molière n’y échappe pas, installée au palais du petit Bourbon à Paris elle voit un jour son théâtre détruit. Louis XIV donnera alors à Molière la salle du Palais Royal qu’il devra partager avec la troupe des italiens. Grâce à cette cohabitation, Molière va s’inspirer de la comédie dell Arte en pratiquant à son tour les mimiques grimaces, la gestuelle faire des gestes, les acrobaties, la musique dans ses pièces. Cette nouvelle salle après deux mois de travaux possède un amphithéâtre arrondi, 2 balcons superposés et une fosse d’orchestre ce qui permettre à Molière de jouer des comédies ballets danses sur scènes accompagnées par des musiciens. Lully y écrira de la musique pour Molière. Mais cette salle dispose surtout d’une machinerie remarquable composée de trappes, de tringles et d’ascenseurs qui permettent des innovations de mise en scène comme le survol de la scène par un acteur. En plus des 2 balcons où s’installe la bourgeoisie, il arrive aussi que des personnages importants aient leur place réservée sur la scène. Le prix de la place est alors de 60 sols soit environ 25 euros. Le parterre est le lieu où s’entasse la classe populaire debout le prix est alors de 15 sols soit environ 6 euros. Contrairement à aujourd’hui, les spectateurs au 17ème siècle n’étaient pas calmes, le chahut et les commentaires à haute voix, les vols de bourses y étaient habituels perburbant les représentations. L’idée que se font les gens des comédiens ainsi que les vies des acteurs s’améliorent tout au long du 17ème siècle, certains d’entres eux connaitront une aisance financière et un fort succès grâce à leurs protecteurs, leur talent et aux recettes de leurs spectacles le prix de la place pouvant être doublé en cas de succès. D’autres auront moins de chance ou moins de talent et mourront dans le plus grand anonymat. A la mort de Molière, Louis XIV ordonna le regroupement des différentes troupes de comédiens de Paris ce fut la fondation de la Comédie Française. Ressources livres molière d’isabelle jan Meurtre au palais royal de marcel pineau Molière et ses personnages de thierry colignon Internet Published by scoobidoo1 - dans Littérature 6 octobre 2011 4 06 /10 /octobre /2011 1026 Alex Kassel MERCY Pretty Woman Passionné par la musique électronique, Alex Kassel, DJ français, repart à New York où il a effectué ses études musicales. Il y est fait des rencontres et lance son premier single qui sera retenu pour un jeu vidéo. Un autre titre connaît également un certain succès et continue son chemin dans le monde entier. Il profite de son talent pour nous offrir un remix d’un succès planétaire qui n’est autre que la célèbre chanson Pretty Woman. Alex Kassel Après avoir effectué ses études dans l’une des plus prestigieuses écoles de musique au monde qui n’est autre que monde la Berklee School of Music " à Boston, Alex Kassel revient à Paris pour poursuivre sa passion musicale et travaille pour la publicité, mais aussi des labels et des artistes de la scène électro comme Mani Hoffmann. Malheureusement, il doit quitte sa passion pour effectuer un autre métier. Lors d’un voyage un New York, il retrouve sa passion pour la musique électronique et il quitte tout Paris, son travail… pour New York ! Il y fait des rencontres et son premier single Move on up » sera choisit pour un jeu vidéo DJ Star en 2009. Son single "Chasing the dream", en featuring avec Adam Joseph, a été diffusé sur les ondes françaises à partir de Juin 2010, et s'est rapidement retrouvé en tête des charts en Espagne pendant 37 semaines. Grâce à ce succès, le titre a été relancé cet été par le label New-Yorkais "Strictly Rhythm", par la réalisation d'un clip, produit par Empreinte Films. Depuis, Chasing the Dream ne cesse d'avancer, à la conquête de nouveaux territoires tels que les Etats-Unis, la République Tchèque, la Pologne, l'Angleterre, la Russie... La musique et les paroles d’Alex Kassel délivrent un message d’espoir et d’unité pour faire danser tout le monde jusqu’au bout de la nuit et bien sûr faire la fête. Pretty Woman "Oh, Pretty Woman" est une chanson rock’n roll interprétée par Roy Rorbison, sorti en août 1964, et qui a été un succès mondial. Enregistrée au Tennessee, elle a été écrite par Roy Orbison et Bill Dees. Celle-ci sera par la suite chantée par de nombreux artistes à partir de 1964 jusqu’à 2009, dernière date connue, par Bruce Springsteen et John Forgety. Elle fera aussi l’engouement de nombreux médias dont on se remémora surtout le succès du film qui a pris le nom de cette chanson Pretty Woman ». Sorti en 1990, cette comédie romantique reprend également la chanson Oh, Pretty Woman. Il est devenu un grand classique du cinéma américain. Ce film d'amour, avec Julia Roberts dans le rôle de Viviane et Richard Gere dans le rôle d'Edouard a marqué l'esprit de tous les cinéphiles ! Aujourd’hui, Pretty Woman revient sous une autre forme Alex Kassel, un DJ français, revisite cette chanson sous forme d’un remix plus moderne, tout en respectant bien la mélodie de base. Revue et corrigée, elle s’ouvre à une nouvelle génération, mais elle permet aussi de la redécouvrir. La cover du single nous rappelle dès le premier coup d’œil l’affiche du film, une attention que les fans ne manqueront pas d’apprécier. Le titre du single ne s’appelle pas Pretty Woman, mais MERCY ! Dès le début, le mix s’est fait déjà remarquer, car on a pu l’entendre passer lors de la techno parade 2011 à Paris avec une foule en délire. Ce single est offert par l’artiste lui-même, il est téléchargeable gratuitement sur facebook ou soundcloud ! Published by scoobidoo1 - dans Musique 29 août 2011 1 29 /08 /août /2011 1610 Avis et critique sur le film "Les Mines du Roi Salomon" Les Mines du Roi Salomon a été adapté du célèbre roman de Rider Haggard et a été réalisé par Compton Bennett et Andrew Marton. Au cœur de l’Afrique disparaît le mari d’Elisabeth Curtis. Une expédition se monte et part à sa recherche avec pour guide Allan Quatermain. Les paysages et les acteurs de ce film sont mémorables. Les atouts pour la réussite du film Les Mines du Roi Salomon est un film d’aventure américain qui a été réalisé par Compton Bennett et Andrew Marton en 1950. Son titre original est King Solomon's Mines et est tiré du roman de Rider Haggard qui porte le même nom et date de 1885. De nombreux acteurs connus ont participé au tournage comme Stewart Granger dans le rôle d'Allan Quatermain, Deborah Kerr dans le rôle d'Elisabeth Curtis ou Richard Carlson dans le rôle de John Goode. Ce film a connu un grand succès lors de sa sortie au cinéma et a reçu une nomination aux Oscars en 1951 dans la catégorie meilleur film. Une expédition pleine d'aventures L’histoire se situe en Afrique, en 1897, où Elisabeth Curtis avec l’aide de son frère John partent à la recherche de son mari disparu qui était à la recherche des mines du roi Salomon et de son trésor. Ils seront accompagnés d’Allan Quatermain, un guide qui les emmènera au cœur de l’Afrique. Mais lors de cette expédition, de nombreuses embûches se dressent à eux. L'engouement L’histoire d’Allan Quatermain suscitera d’autres films par la suite, toujours d’après les œuvres de Rider Haggard, dont Allan Quatermain et les mines du roi Salomon en 1986, Allan Quatermain et la cité de l’or perdu en 1987 et le dernier sorti en date en 2004, Allan Quatermain et la pierre des ancêtres pour la télévision. Les Mines du Roi salomon est à ce jour la meilleure version filmée tant dans la performance des acteurs qui est remarquable que par la réalisation. En effet, pour l’époque, le tournage du film est un réel défi et on peut contempler les magnifiques paysages africains dont les images sont d’une rare beauté. Stewart Granger viril et Deborah Kerr forment un duo très charismatique qui ne nous laisse pas indifférents. Enfin, sa sortie en DVD en 2006 ravira les cinéphiles du genre et ne laisseront pas indifférents ceux qui découvriront le film, car il est un total dépaysement. Published by scoobidoo - dans Cinéma 6 juillet 2011 3 06 /07 /juillet /2011 1735 Analyse et critique du film "Garcon Stupide" Garçon stupide est le premier film de Lionel Baier, sorti au cinéma en 2005. Il y interprète, parmi de bons comédiens, un petit rôle. Il raconte l'histoire de Loïc, un garçon stupide, qui finalement ne l'est peut-être pas, et qui, grâce à Marie, décide d'avancer dans la vie. Il s'agit d'un film initiatique qui laisse le spectateur perplexe. Un premier film %%% Garçon stupide est un film suisse, réalisé par Lionel Baier en 2005. Il s’agit de son premier long métrage-métrage, dans lequel joue Pierre Chatigny dans le rôle de Loïc, Natacha Koutchoumov dans le rôle de Marie, Rui Pedro Alves dans le rôle de Rui. Lionel Baier y interprète également un rôle, celui de Lionel. C'est un film dramatique qui s’accompagne d'une pointe d’humour. Lionel Baier décrit le parcours d'un jeune homme, aux allures stupides, et très porté sur des activités nocturnes, d'ordre sexuel. Ce film a été interdit aux moins de 16 ans lors de sa sortie. L'histoire %%% Loïc est un ouvrier qui travaille dans une usine de chocolat dans la journée. Lorsqu’arrive le soir, il se donne à des activités sexuelles sur Internet avec d’autres hommes. Après s’être satisfait sexuellement, il rentre chez Marie, une amie d’enfance chez qui il dort. Il est d'ailleurs secrètement amoureux d'elle. Après quelques rencontres fortuites et avec l’aide de Marie, Loïc décide d’aller de l’avant parce qu’il n’est pas un jeune garçon stupide. Un film initiatique Ce film est un parcours initiatique où on y voit le portrait d’un jeune homme "qui baise tout le monde pour n’aimer personne". Ce jeune homme, joué par Pierre Chatigny, est très convaincant et nous prête toute notre intention. La mise en scène de Lionel Baier est tout à fait remarquable. Il faut savoir que certaines scènes de sexe sont assez crues et franches. , c’est pour cette raison que le film est interdit au moins de 16 ans. C'est un parcours initiatique qui vaut la peine qu’on s’y arrête, mais qui peut déplaire à certaines personnes, car il pourrait apparaître aux yeux de quelques-uns, un côté reportage, voire même un côté documentaire de ce film. Donc, c'est un film qui est ni déplaisant à voir, ni désintéressant à voir. Garçon stupide est un film stupide qui nous laisse perplexes après l’avoir vu. Published by scoobidoo - dans Cinéma 29 juin 2011 3 29 /06 /juin /2011 1503 Analyse et critique du film "Diva" Le film Diva est adapté du célèbre roman du même nom et réalisé par Jean-Jacques Beineix en 1981. Jules, fasciné par une Diva, enregistre son concert et reçoit une cassette mettant en cause un commissaire dans une affaire de prostitution. Ce film, composé de bons comédiens, est un polar qui se joue sur un air de musique Lyrique. Un premier film Diva est un film dramatique français, réalisé par Jean-Jacques Beineix en 1981. Il s’agit de son premier long métrage en tant que réalisateur. L’histoire est tirée du livre Diva de Delacorta publié en 1979 et qui connut un succès mondial. Quant au film, il ne connut pas un grand succès en France lors de sa sortie, mais aux Etats-Unis ; c’est tout le contraire, il est acclamé. Aujourd’hui, il fait partie des grands classiques du cinéma français. L'histoire C’est l’histoire d’un jeune postier, Jules, qui est passionné par la voix de la célèbre diva Cynthia Hawkins et qui se rend à un de ses récitals. Lors de ce concert, il décide de l’enregistrer sans se faire remarquer, car elle a toujours refusé d’enregistrer sa voix. Deux Taïwanais, présents dans la salle voit Jules l’enregistrer et le poursuivront pendant le film pour récupérer la bande-son. Pendant cette soirée, une jeune prostituée, Nadia, glisse une cassette dans les sacoches de sa mobylette à son insu ; on la retrouvera morte le lendemain. Cette cassette met en cause un commissaire de police dans un trafic de prostitution. La police et les truands se mettent alors à le traquer. Dépassé par les évènements, il se réfugie chez Gorodish et de Alba où il trouvera de l’aide. Un policier sur un air d'opéra Ce film se situe entre le polar et l’opéra lyrique où deux mondes différents se rencontrent ; l’un est irréel avec la voix de la diva et l’autre est réel, avec celui des truands. Le jeu des comédiens y est parfait avec dans le rôle de Jules Frédéric Andrei, dans le rôle de Cynthia Hawkins Wihelmenia Wiggins Fernandez, dans le rôle de Weinstadt Roland Bertin , et dans le rôle de Goodish Richard Bohringer, pour ne citer qu’eux. La musique du film composée par Vladimir Cosma est tout simplement prodigieuse et d’ailleurs il en a obtenu le César de la meilleure musique en 1982. Parmi cette musique, on peut entendre un air d’opéra, La Wally, chanté par Wihelmenia Wiggins Fernandez. Un air qui reste même après la fin du film. Ce film reçut quatre récompenses aux Césars en 1982 dont celui de la meilleure première œuvre. Published by scoobidoo - dans Cinéma 29 juin 2011 3 29 /06 /juin /2011 0711 Analyse et critique du film "La guerre est finie" "La guerre est finie", titre donné d'après le fameux document de Franco, est un film dramatique réalisé par Alain Resnais. Il s'agit d'un réfugié politique qui continue d'aller en Espagne pour faire la liaison entre les militants exilés à Paris et ceux restés en Espagne. Un film sur fond politique, qui est dit fiction, mais qui relate des faits historiques .Les origines de "La guerre est finie""La guerre est finie" est un film dramatique français, réalisé par Alain Resnais en 1966. Le scénario est de Jorge Semprun et c’est la première collaboration avec Alain Resnais. Le titre du film fait référence au dernier communiqué de guerre datant de 1939 qui a été fait par le général Franco et qui annonçait la fin de la guerre civile en Espagne la guerre est se situe en 1965 où la guerre civile fait rage en Espagne. Diego s’est exilé à Paris, mais il continue d’aller en Espagne sous de fausses identités pour garder le contact avec les militants du parti communiste espagnol restés fait le messager entre des militants exilés et ceux restés en Espagne. Après une mission délicate, il n’est plus aussi sûr de ses convictions. Un de ses camarades risque d’être arrêté s’il repart en Espagne, il veut l’en avertir, mais il a déjà fiction basée sur une histoire vraieLe film "La guerre est finie" s’inspire de l’histoire du scénariste Jorge Semprun qui a été un membre du parti communiste espagnol lors de la guerre civile. Bien que ce soit une fiction, il relate une situation politique précise et réelle avec une chronologie historique. Mais, son impact fut tel en Espagne que le ministre de l’Intérieur espagnol exigea son retrait de la compétition du Festival de Cannes en 1966."La guerre est finie", continue à subir les foudres et se voit retirer des autres festivals. Ils lui décerneront tout de même quelques prix, car ce film connaît un immense succès avec notamment le prix Louis Delluc en s’agit d’une œuvre cinématographique pleine de richesse qui s’accompagne de comédiens remarquables tels que Yves Montand, Ingrid Thulin, Geneviève Bujold, Jean Bouise. "La guerre est finie" se joue sur un fond politique, mais ce n’est pas un film qui se veut militant. Published by scoobidoo - dans Cinéma
Sunday, 27-Dec-20 000000 UTC
Suite de notre dossier sur la Indianajonesploitation la première partie figure ICI.LE CONTINENT ASIATIQUEAutre continent, autres industries de cinéma bis celles de Hong Kong, des Philippines, de l'Inde ou encore de la Thaïlande. Mais avant d'aborder l'Asie à proprement parler, il y a le cas de l'Océanie, avec notamment "Les Aventuriers" alias "Les Bourlingueurs" Race for the Yankee Zephyr, 1981, de David cette co-production entre les Etats-Unis, l'Australie et la Nouvelle Zélande, un pilote d'hélicoptère amateur de chasse au trésor Donald Pleasence découvre dans un lac des montagnes néo-zélandaises la carcasse d'un avion de la Deuxième Guerre mondiale, avec à son bord 50 millions de dollars en or et en devises. Lorsque le secret de sa découverte est éventé, un gang de crapules mené par George Peppard le menace sa fille et lui, nécessitant l'intervention de Barney Ken Wahl, lui aussi pilote d'hélico et aventurier vrai de vrai… Si le script est moins servile que la plupart des rip-offs, c'est que ce film n'en est pas tout à fait puisqu'il date de 1981. Dans ses thèmes et son traitement, il s'inscrit néanmoins dans la vague de films qui nous intéresse fois Indiana Jones établi comme phénomène, l'Australie produira son avatar bien à elle, avec des bouts d'"Aventuriers du bout du monde" dedans "Dakota Harris and the Sky Pirates", tourné en 1986 par Colin sommes en Australie, en 1945. Piloté par le lieutenant Harris, un Dakota survole l'océan Pacifique avec à son bord des militaires et une mystérieuse caisse. Mais l'appareil, bientôt pris dans une tempête surnaturelle, est obligé de se poser en catastrophe avant de sombrer. Harris est jugé responsable de l'accident et condamné. Mais Mélanie Mitchel, la fille d'un des passagers de l'avion, lui révèle la vérité la caisse contenait un morceau d'une pierre sacrée au pouvoir absolu, déposée par des extra-terrestres sur l'Ile de Pâques. Ensemble, ils décident de partir à sa recherche...Les industries ciné d'Asie ne sont pas non plus restées insensibles au succès de Indiana Jones. A notre connaissance, ce furent les Chinois qui tirèrent les premiers avec le parodique "Teppanyaki" 1984, sympathique comédie hongkongaise écrite, réalisée et interprétée par Michael Hui, petit prince de l'humour cantonnais. Hui y incarne Johnny Huang, chef cuisto martyrisé par sa mégère d'épouse et le père de celle-ci, propriétaire du restaurant dans lequel il travaille. Vivant un amour platonique avec une pin-up de calendrier la mignonne Sally Yeh, la dernière demi-heure du film lui offre l'occasion de secourir cette dernière, kidnappée par des bandits aux Philippines parmi les figures locales, le nanardeur averti pourra reconnaître le filiforme Palito, alias James Bone. C'est là que, pour illustrer cette succession de morceaux de bravoure qui voient le malingre Johnny Huang accéder au rang de héros intrépide, Michael Hui choisit de pasticher ouvertement Indiana quelque prétexte délicieusement léger, son personnage se retrouve en effet affublé du chapeau et du fouet de rigueur et la musique, histoire de bien enfoncer le clou, reprend alors sur un synthétiseur très pouet-pouet le fameux thème composé par John Williams. On est ici clairement dans la parodie décomplexée, la fameuse cascade des Aventuriers de l'arche perdue où Indiana Jones poursuit un camion à cheval, passe dessous, se raccroche avec son fouet etc. étant reprise ici telle quelle, mais caviardée de gags pour l'anecdote, cette fameuse cascade était d'ailleurs elle-même un hommage à une cascade similaire mise en scène par John Ford dans "La Chevauchée fantastique". Ce savoureux pastiche donnera la bonne idée à un éditeur espagnol de sortir ce film en VHS sous le titre "La primera cruzada de Indianna Johnny" traduction La première croisade d'Indianna Johnny. Gonflé !De façon moins rigolarde, l'influence de Indiana Jones se fait sentir sur pas mal de productions hongkongaises des années 80, qui surfent volontiers sur la vague "aventures rétro" mais en l'accommodant à leur sauce. Dans un premier temps, les Chinois adaptent leur Indiana Jones local, Wisely, personnage d'aventurier né sous la plume du romancier Ni Kuang. Versant ouvertement dans le fantastique, les nombreuses aventures de Wisely sur papier il en existe 145 l'ont notamment vu visiter le centre de la Terre, le paradis, l'enfer, le futur, des planètes peuplées d'extraterrestres, et rencontrer toutes sortes de créatures. On retiendra ici "La Légende de la Perle d'Or" The Legend of Wisely, 1985, et "La 7ème Malédiction" Dr. Yuen and Wisely" alias "The Seventh Curse", 1986.Une fois n'est pas coutume, le visuel de cette jaquette est fidèle au contenu - hormis le fait que les traits du héros ont été occidentalisés !Dans le premier, Wisely est un écrivain de science-fiction interprété par Sam Hui qui part à la recherche de la perle du dragon, sa quête le menant au pied des grandes pyramides d'Egypte où il croisera notre ami Bruce Baron et sur les contreforts de l'Himalaya, au le second, où Wisely est une sorte d'occultiste interprété par Chow Yun Fat, l'action se situe dans la jungle thaïlandaise et met en scène un sorcier maléfique et sa tribu, un monstre-foetus sanguinaire et un squelette qui fait du kung-fu et se transforme en une sorte d'alien ailé à l'occasion. Le résultat est une sorte d'Indiana Jones gore et brouillon mais étrangement jouissif, ce qui n'a rien d'étonnant quand on sait qu'il a été réalisé par Ngai Kai Lam, qui allait signer plus tard ces perles non-sensiques que sont "Story of Ricky" et "The Cat"."Quand Indiana Jones rencontre Evil Dead !" Pour une fois, l'accroche dit vrai...Même s'il n'entretient guère de lien avec Indiana Jones, "The Cat" reprend d'ailleurs ce personnage de Wisely, aux prises avec un chat extraterrestre et une créature lovecraftienne venue de l'espace une sorte de gros blob bouseux. Pour tâcher d'être complet sur cet Indiana Jones version chop suey, citons également le très moyen "Bury Me High" 1990 de Chi Li Tang & Siu Ming Tsui, production Golden Harvest mélangeant aventure, mysticisme, romance et arts martiaux où le personnage de Wisely est cette fois-ci au coeur d'une intrigue faisant la part belle à la géomancie tendance feng film made in HK surfant sur la mode Indiana Jones de manière assez évidente pour être évoqué ici "Magic Crystal" 1986 de Wong Jing, avec notamment Cynthia Rothrock et Richard Norton. Wong Jing, sorte de Dino De Laurentiis chinois mais sachant scénariser et réaliser ce qu'il produit, fait ici d'une pierre deux coups en pompant à la fois Indiana Jones et les deux grands succès spielbergiens du début des années 80. Le scénario divague sévèrement avec cette histoire de cristaux découverts sur un site archéologique en Grèce, qui se révèlent en fait être une forme de vie extraterrestre, et sont convoités par Interpol, le KGB et un méchant sorcier nommé Karov joué par Richard Norton ! Tiraillé entre ses deux influences, "Magic Crystal oscille entre le film pour mioches et le kung-fu flick pur et dur, se révélant au final un chouette petit plaisir pourrait citer encore bien des films hongkongais influencés à des degrés divers par Indiana Jones, mais aussi par "Les Aventuriers du bout du monde". Les Chinois se découvrent un engouement soudain pour les aventures se déroulant dans les années 30, les aviateurs intrépides, les héroïnes maniant le fouet et les explorations de temples ou de ruines riches en mystères. Pourtant, dans beaucoup de cas, ce sont juste quelques éléments, certaines scènes, personnages ou décors qu'on sent sous forte influence, mais rarement un film dans son ensemble. Dans une ghost comedy comme "Mortuary Blues" 1990 par exemple, Jeffrey Lau insère une scène de 15 minutes dans un édifice souterrain truffé de pièges directement inspiré par qui vous savez, mais le reste du film n'a rien à voir. Dans "Terracotta Warrior" 1990, de Ching Siu-Tung, l'histoire se déroule dans les années 30, on retrouve un personnage d'aviateur et une histoire de gardien immortel sommeillant dans le mausolée de l'empereur Qin. Dans "Magnificent Warriors" 1987, de David Chung, l'histoire se déroule là aussi dans les années 30, avec comme personnage principal Michelle Khan/Yeoh, pilote d'avion et aventurière maniant le fouet de façon redoutable, qui affronte les Japonais menés par le super kicker Hwang Jang une jaquette qui n'y va pas de main morte "Elle se bat avec un fouet redoutable, auprès duquel celui d'Indiana Jones est un jouet d'enfant" !L'influence d'Indiana Jones dans les productions HK, c'est en fait dans deux films de Jackie Chan qu'on la ressent le mieux. Le diptyque "Mister Dynamite" Armour of God, 1987 et "Opération Condor" Armour of God 2, 1991 voit en effet un Jackie aventurier casse-cou se lancer en quête des différentes parties d'une armure sacrée rendant invincible, s'emparer de l'idole de quelque peuplade guère civilisée, faire le coup de poing et de pied contre les moines d'une obscure secte ou partir à la recherche du trésor des Nazis en plein Sahara. Autrement dit, Jackie Chan reprend en deux films les grandes lignes et temps forts de la trilogie de Spielberg & de budgets relativement confortables pour des productions hongkongaises, ces films ont été tournés à la fois au Maroc, en Croatie, en France, aux Philippines, en Espagne, en Autriche et bien sûr à Hong Kong. Ils font figure de classiques pour les amateurs de cinéma asiatique, et peuvent être considérés à bien des égards comme les meilleurs rejetons d'Indiana Jones, Jackie Chan en ayant repris avec talent les ingrédients essentiels de l'action survitaminée, des cascades impressionnantes et cet esprit fun communicatif propre aux divertissements grand public star de l'ex-colonie britannique Jet Li, que l'on retrouve en tête d'affiche de "Dr. Wai in The Scripture with No Words" 1996, dans lequel l'acteur incarne un auteur de romans d'aventure qui, pour oublier ses problèmes quotidiens et la vacuité de son existence, s'identifie pleinement avec son flamboyant héros littéraire. Fuyant les affres d'une réalité pesante mariage désastreux, panne d'inspiration, le romancier s'imagine donc vivre les tribulations de son personnage de fiction, un aventurier évoluant dans les années 30, partant à la recherche d'un texte sacré magique et affrontant divers obstacles marsupial mutant, ninjas et sumos japonais, ainsi qu'une fourbe séductrice jouée par Rosamund Kwan, qui joue également l'épouse de l'écrivain. Chorégraphié et mis en scène par Ching Siu-Tung, ce film - dont le scénario rappelle celui du "Magnifique" avec Belmondo - aura malheureusement connu de nombreux déboires. En cours de production, plusieurs décors d'une valeur estimée à 10 millions de dollars HK furent détruits au cours d'un incendie, entraînant des coupes budgétaires et des modifications dans le script. Pour tenter de limiter la casse, une version alternative destinée au marché international fut montée tant bien que mal, en coupant certains passages jugés "trop chinois" pour l'exportation et en ajoutant des scènes additionnelles tournées par Tsui Hark. Au final, le public occidental se retrouve ainsi devant un film dont on devine qu'il aurait pu être un excellent divertissement, mais qui conserve de nombreuses lacunes scénaristiques, les scènes contemporaines dépeignant Jet Li en écrivain malheureux ayant été balayées au profit de celles nous montrant un Jet Li en aventurier casse-cou...A Hong Kong, on trouve aussi la firme IFD et son matois big boss Joseph Lai, saint patron du "2-en-1" souvent évoqué sur les pages de ce site pour ses filouteries ninja. Adepte de l'escroquerie à pas cher, champion de l'arnaque bas de gamme, IFD a modestement contribué au phénomène de l'indianajonesploitation en distribuant de médiocres films de guerre thaïlandais sous des titres évocateurs, tels que "Raiders of the Doomed Kingdom" ou "Raiders of the Golden Triangle" 1985, tous les deux attribués à Sumat Saichur. Des titres qui démarquent celui de "Raiders of the Lost Ark" pour être plus vendeurs, bien que le contenu n'ait rien à voir. Selon certaines sources, ces films de guerre mettant en vedette le Thaïlandais Sorapong Chatree seraient des co-productions entre Hong Kong et la Thaïlande, l'IMDB créditant Godfrey Ho au accueilli les tournages de plusieurs sous-Indiana Jones italiens ou chinois, les Philippines ont elles aussi fini par produire leurs propres avatars. Timidement d'abord, via des cross-over hallucinants comme "Seachers of the Voodoo Mountains" 1985 de Bobby A. Suarez ou "Les Nouveaux Conquérants" alias "Future Hunters" 1986 de Cirio H. Santiago. Deux films qui, à la façon des "Prédateurs du futur" de Ruggero Deodato, brassent joyeusement une foultitude d' jaquette finlandaise de "Seachers of the Voodoo Mountains".Dans le premier également sorti sous les titres "Warriors of the Apocalypse" et "Time Raiders", un aventurier mène les survivants d'un holocauste nucléaire à la recherche de la légendaire Montagne de la Vie. Ils croiseront sur leur route des pygmées immortels, une princesse sur laquelle le temps n'a pas prise, un méchant prêtre, des amazones vêtues de bikinis en fourrure etc. Dans le second également sorti sous les titres plus indianajonesques "Deadly Quest" et "Spear of Destiny", Cirio H. Santiago nous convie à la rencontre du post-apocalyptique, du film de kung-fu, de l'aventure exotique à la Indiana Jones, le tout avec des Nazis, des Amazones, et des références bibliques balancées dans l'enthousiasme le plus total !Pour voir un vrai rip-off philippin d'Indie, il faut néanmoins attendre 1988 et la sortie du piteux "The Secret of King Mahis Island". Un film au budget de misère, entamé par Leonard Hayes et terminé dans des conditions catastrophiques par Jim Gaines, acteur récurrent des productions de l'archipel promu au poste de réalisateur / roue de secours. Dans l'interview exclusive qu'il a accordée à Nanarland, le tataneur Gary Daniels, interprète principal de ce naufrage, évoque le film en ces termes "Le second film que j'ai fait là-bas s'appelait "The Secret of King Mahis Island", et devait être une sorte de film d'aventures et d'action à la Indiana Jones, mais ça s'est plutôt mal passé. Le réalisateur initialement en charge du projet a jeté l'éponge au bout d'une semaine et Jimmy a pris le relais, mais il y avait toutes sortes de problèmes et au final le résultat s'est avéré catastrophique. Il n'y a dès lors rien de surprenant à ce que le film n'ait pas bénéficié d'une large distribution, et ce n'est pas moi qui m'en plaindrai."Dans un registre ouvertement déconneur, les Philippins - grands pourvoyeurs de parodies balourdes des succès hollywoodiens - ont également produit des titres aussi excentriques que "Crocodile Jones The Son of Indiana Dundee" 1990, pastiche signé Efren Jarlego futur réalisateur du redoutable "Tar-San", avec Vic "Lastikman" Sotto dans le rôle d'Indiana c'est Iskul Bukol, autre personnage indianajonesque du cinéma de rire, il nous faut encore signaler cette production thaïlandaise honteusement titrée "Indiana Joai Elephant Cemetery" 2003 et réalisée par Sarawooth Rakpradith. Très librement inspirée de la vie de l'aventurier-photographe thaï Joai Bangchark, "Indiana Joai Elephant Cemetery" nous conte donc l'histoire de Joai qui, alors qu'il poursuit des braconniers en pleine forêt, se voit remettre par un vieil homme mourant un collier magique sculpté dans une défense d'éléphant. Ce collier, qui permet à celui qui le porte de contrôler les pachydermes, va permettre à Joai de combattre efficacement les braconniers et sauver un village, aidé pour ce faire du fantôme d'un éléphanteau. Tout un programme...Enfin, l'Inde non plus n'est pas restée sur la touche en livrant le cocasse "Anji" 2004 de Kodi Ramakrishna, avec Chiranjeevi, superstar du cinéma en langue telugu. L'histoire en deux mots quelque part en Inde existe une source qui n'apparaît qu'une fois tous les 72 ans et laisse couler, si l'on accomplit les rituels appropriés, un nectar procurant immortalité et invincibilité à celui qui le boit. A l'approche de la date fatidique, un milliardaire âgé de 99 ans et qui avait échoué 72 ans plus tôt, fait enlever des enfants orphelins pour obliger le héros à récupérer le nectar pour lui. Cette production Tollywood est sortie en Allemagne sous le titre "Diler - Indian Jones" et en Espagne sous le titre "Indiano Jones y el agua de la eternidad" Indiano Jones et l'eau de l'éternité. Chiranjeevi n'est d'ailleurs pas novice en la matière puisque dès 1984, il incarnait une version curry-masala de Indiana Jones dans "Hero", de Vijaya Baapineedu. Un film dont l'intro est une photocopie plan par plan de celle des "Aventuriers de l'arche perdue", que nous vous proposons de voir ici en vidéo. On retrouve en fin de film un temple en carton-pâte et la scène de la fosse aux serpents, avec le coup du "si les serpents entrent et sortent, c'est qu'il y a une issue" qui permet au héros et sa copine de s'en sortir. On retrouve également la scène, toujours tirée des "Aventuriers de l'arche perdue", où le héros s'accroche à un camion avec son fouet avant d'en éjecter ses occupants. Pour le reste, ce "Hero" made in Tollywood brode comme il peut avec le mélange de romance, d'humour, de drame familial et de baston propres aux productions alias Indiana coup du sac de sable pour laisser du lest équivalant au poids de l' coup de la grosse pierre qui REVIVAL DES ANNEES 2000Si la indianajonesploitation bat son plein dans les années 1980, elle marque logiquement le pas dans les années 1990, durant lesquelles la franchise du tandem Lucas/Spielberg ne propose plus de nouveau film original à copier. Pourtant, le genre va connaître un renouveau avant même la sortie en 2008 de "Indiana Jones et le Royaume du crâne de cristal". Pour ça, il suffisait d'un film exploitant cette veine en y apportant un peu de fraîcheur, avec un budget conséquent pour assurer le spectacle et surtout - argument auxquels les producteurs sont le plus sensible - que ce film remporte un important succès auprès du public. Ce métrage providentiel, ce sera "La Momie" The Mummy, 1999, de Stephen Sommers. Le scénario ne propose pourtant rien de bien novateur, en reprenant dans les grandes lignes le sujet du film original de 1932 dans les années 20, sur le site archéologique de l'antique cité égyptienne de Hamunaptra, un Américain enrôlé dans la Légion Etrangère Brendan Fraser réveille accidentellement une du remake d'un classique de la Universal ? Pas grand chose a priori. Et pourtant, si l'on n'est pas trop exigeant, la sauce prend Brendan Fraser, ni trop sérieux ni pas assez, s'avère être un bon choix pour incarner l'aventurier Rick O'Connell, la réalisation est suffisamment enlevée pour donner du rythme à une histoire pourtant sans grandes surprises, et des effets spéciaux réussis permettent de dépoussiérer efficacement le mythe jusqu'alors associé à la figure de Boris Karloff. Ravis d'un retour sur investissement bien au-delà de leurs espérances, les pontes des studios Universal ne sont pas longs à réagir ils mettent illico en chantier une suite , "Le retour de la momie" The Mummy Returns, 2001, toujours de Stephen Sommers et avec Brendan Fraser, ainsi qu'un spin-off, "Le Roi scorpion" The Scorpion King, 2002 de Chuck Russell et avec The Rock. Certes, on est loin ici de la indianajonesploitation pure et dure, mais la franchise du revenant à bandelettes va contribuer à remettre à la mode le film d'aventures, et donc les productions sous forte sous forte influence, dis-je, comme "Les Aventuriers du trésor perdu" High Adventure, 2001 réalisé par Mark Roper, tâcheron sud-africain par ailleurs auteur de chefs-d'oeuvres comme "Operation Delta Force 3" & "4" et surtout "Marines". Ici, il nous invite à suivre les péripéties de Chris Quartermain, petit-fils de l'explorateur Allan Quatermain ! qui se lance, avec les inévitables compagnons de rigueur, à Istanbul et en Bactrianne le film fut en fait tourné au Canada et en Bulgarie… à la recherche du trésor d'Alexandre le Grand. Une quête évidemment structurée en plusieurs parties la recherche de la carte, puis celle du trésor, évidemment piégée, et qu'ils ne sont évidemment pas les seuls à suivre. Bref, rien de nouveau sous le soleil !En ce début de millénaire, une autre franchise sous influence voit le jour, celle de "Tomb Raider", adaptée de la série de jeux vidéo du même nom. Ici, la filiation ne laisse guère de doute. Créé en 1996, le personnage de l'aventurière Lara Croft est en effet une transposition directe en pixels - les généreux attributs mammaires en plus - de celui d'Indiana Jones. Son concepteur, Toby Gard, avait en effet "initialement envisagé un personnage principal masculin, avec un fouet et un chapeau. Le co-fondateur de Core Design, Jeremy Smith, a caractérisé ledit personnage comme un dérivé d'Indiana Jones, et a demandé plus d'originalité. Gard décida alors qu'un personnage féminin aurait plus d'impact selon son point de vue" [Source Wikipédia].Au-delà du personnage, c'est l'univers entier du jeu vidéo originel qui est sous influence. Logique donc que les adaptations au cinéma suivent le même chemin. Dans "Lara Croft Tomb Raider" 2001, de Simon West, c'est Angelina Jolie qui incarne la plantureuse aventurière. Dans ce premier opus, Lara Croft hérite de son père - un grand archéologue - une mystérieuse horloge. Celle-ci pourrait être l'horloge recherchée par une organisation secrète, les Illuminati, et contiendrait un artefact qui aurait le fabuleux pouvoir de contrôler le temps et l'espace... Le résultat à l'écran est une succession de morceaux de bravoure résolument bigger than life, qui font de ce film un honnête plaisir coupable pour le spectateur pas trop regardant. Avec des recettes sur le seul marché américain de plus de 131 millions de dollars pour un budget initial d'environ 80 millions, une suite est logiquement donnée à ces retrouve donc Angelina Jolie deux ans plus tard, cette fois sous la direction du sous-exploité Jan de Bont, dans "Lara Croft Tomb Raider, le berceau de la vie" Lara Croft Tomb Raider The Cradle of Life, 2003. Suivant la logique de la surenchère, le script nous emmène aux abord du Kilimanjaro, point culminant du continent Africain, qui abrite le plus mystérieux et le plus terrifiant des fléaux la Boîte de Pandore, dont les germes pourraient en quelques heures anéantir l'humanité. Alexandre le Grand, ayant compris que ce fléau ne devait en aucun cas tomber entre de mauvaises mains, la fit jadis installer dans une mare d'acide gardée par des créatures hybrides de singes géants. Lara Croft, qui a trouvé le plan pour retrouver "le berceau de la vie" dans le temple de Lune dédié à Alexandre, s'apprête alors à débuter une aventure où son ami Terry Sheridan et elles devront faire face au terrifiant Chen Lo et à son commando de Chinois. Ce scénario généreux dans l'excès se traduit à l'écran par une succession de péripéties survitaminées, faisant de ce deuxième titre un film bête comme ses pieds mais néanmoins divertissant. Le plébiscite ne sera cependant pas au rendez-vous 65,5 millions de dollars de recettes ciné aux Etats-Unis, pour un budget de 90 millions, privant les fans d'un hypothétique troisième 2013, l'éditeur Crystal Dynamics relance la série de jeux vidéo avec le reboot "Tomb Raider" 2013, bientôt suivi de "Rise of the Tomb Raider" 2015 et "Shadow of the Tomb Raider" 2018. L'engouement autour des jeux et le manque d'imagination des grands studios amène naturellement Warner Bros et la MGM à produire un reboot cinéma de l'héroïne, cette fois incarnée par Alicia qui dit nouveau Tomb Raider dit évidemment nouvelles copies de petits studios aussi opportunistes que fauchés. On voit ainsi débouler un certain "Tomb Invader", produit conjointement par les bien nommés Broken Films et les margoulins de The Asylum, grands spécialistes du mockbuster navrant. On y suit les aventures de l'archéologue Ally et de ses associés, engagés par un mercenaire pour dérober le légendaire Cœur du Dragon, une relique chinoise cachée au fin fond du Temple de Quin Shi Haung, qui est évidemment truffé de pièges... Empruntant très largement à la saga Indiana Jones, ce "Tomb Invader" réussit l'exploit de sortir le 9 mars 2018, soit une semaine exactement avant le reboot de "Tomb Raider" !Autre studio, autre franchise celle du chercheur de trésors Benjamin Franklin Gates, lancée par les studios Walt Disney. Dans un premier film, "Benjamin Gates et le trésor des templiers" National Treasure, 2004, signé Jon Turteltaub, cet empaffé de Nicolas Cage campe le descendant d'une lignée de chasseurs de trésors à la recherche de celui des Templiers, qui hante les pensées de sa famille depuis des générations. Mais il n'est évidemment pas le seul intéressé… A la fois archéologue et aventurier comme qui vous savez, Benjamin Franklin Gates devra résoudre de nombreuses énigmes, se balader en divers endroits du globe et éviter à la fois le FBI et un dangereux rival aventurier. Divertissement grand public sans âme ni originalité - si ce n'est une tentative de moderniser le genre en l'ancrant dans l'époque contemporaine -, ce premier film cartonne néanmoins 173 millions de dollars de recettes ciné sur la marché US, pour une mise initiale de 100 millions, entraînant inévitablement une première suite."L'aventure a un nouveau visage"… ambitieux comme slogan !Ainsi déboule "Benjamin Gates et le livre des secrets" National Treasure 2 the Book of Secrets, 2007, toujours de Jon Turteltaub, et toujours avec Nicolas Cage dans le rôle titre. Cette fois, le nouveau visage auto-proclamé de l'aventure s'emploie à prouver l'innocence de son arrière-arrière-grand-père, soupçonné d'avoir comploté contre Abraham Lincoln après la réapparition d'une page manquante du journal de John Wilkes Booth, l'assassin du président. D'indice en indice, Nicolas Cage traînera sa mine ahurie entre l'Europe Paris, Londres et les Etats-Unis, ce deuxième volet - qui lorgne plus volontiers sur "Da Vinci Code" que Indiana Jones - privilégiant l'histoire américaine, les secrets domestiques et les thèses conspirationnistes aux explorations en territoires exotiques. Les trépidantes aventures de Benjamin Gates connaîtront-elles une suite ? Avec 220 millions de recettes US pour un budget de 130 millions, la réponse est courue d'avance. Nicolas Cage parviendra t-il à nous faire oublier Harrison Ford ? Là par contre c'est une autre histoire…Le recyclage étant un processus infini, signalons que le relatif succès de "Benjamin Gates et le trésor des templiers" 2004 semble avoir lui-même engendré une micro vague de titres comme "Le sang des Templiers" Das Blut der Templer, 2004 de Florian Baxmeyer un téléfilm allemand de 3 heures qui mélange Indiana Jones, Da Vinci Code et Highlander, "Le secret des Templiers" Tempelriddernes skat, 2006 de Kasper Barfoed, "Le trésor perdu des templiers 2" Tempelriddernes skat II, 2007 de Giacomo Campeotto et l'inédit "Tempelriddernes skat III Mysteriet om slangekronen" 2008 du même réalisateur, une trilogie d'aventures familiales grand public venue du Danemark, "Le dernier des templiers" Season of the Witch, 2011 de Dominic Sena, avec Nicolas Cage, ou encore "Le sang des templiers" Ironclad, 2011 de Jonathan l'a déjà vu à plusieurs reprises, quand on manque vraiment d'idées, plutôt que d'inventer un nouvel aventurier, il reste toujours la possibilité de l'appeler Allan Quatermain, du nom de ce personnage créé par Sir Henry Rider Haggar, et tombé dans le domaine public. Né dans le comté du Norfolk le 22 juin 1856 et mort à Londres le 14 mai 1925, Sir Henry Rider Haggard est un écrivain anglais, auteur de romans d'aventures qui se situent dans des lieux considérés, en son temps, comme exotiques. En 1885, il publie Les Mines du roi Salomon, dont le héros se nomme Allan Quatermain."Allan Quatermain", c'est donc un nom un peu connu du public et qui coûte rien du tout. Pourquoi s'en priver ? C'est sans doute ce que se sont dit les instigateurs de "Allan Quatermain et la pierre des ancêtres" King Solomon's Mines, 2004, téléfilm de 4 heures signé Steve Boyum, avec feu-Patrick Swayze dans le rôle d'Allan Quatermain. Choisissant d'adapter de façon fidèle le roman originel, ce divertissement pour le petit écran se déroule de façon archi-convenue mais néanmoins fonctionnelle pour qui souhaite se reposer le bulbe après une rude journée de production TV grand format près de 3 heures, autre has been en détresse après Patrick Swayze, c'est au tour de Casper Van Dien d'être coiffé du même feutre que Harrison Ford pour les besoins de "La Malédiction du pharaon" The Curse of King Tut's Tomb, 2006, réalisé par un Russell Mulcahy qui a décidément son avenir derrière lui. On est ici dans le registre du nanar servile, à la croisée de "Indiana Jones" et de "La Momie" que Mulcahy tente d'émuler sans trop y située peu après la Première Guerre mondiale, suit ici Danny Freemont Casper Van Dien donc, archéologue et aventurier en compétition avec un mystérieux groupe le "Hellfire Counsel" en VO dans la recherche des différents fragments d'une émeraude mystique. Une fois réunis, ces morceaux donneront à celui qui les détient un pouvoir sans limites. Freemont s'emploie ainsi à dénicher ces précieux fragments, disséminés aux quatre coins du globe, mais se les fait chiper par la secte de méchants apprentis maîtres du monde. Le dernier fragment est caché dans le tombeau du pharaon Toutankhamon…Casper Van Dien est Danny Freemont dans "La Malédiction du pharaon".Vous en voulez encore ? Allez, on va dire que oui, comme ça je peux également vous parler d'une autre franchise télé, celle du bibliothécaire aventurier Flynn Carson encore un nom qui claque ! Produites par Dean Devlin proche collaborateur de Roland Emmerich avec qui il produisit entre autres Stargate, Independence Day, The Patriot ou encore Godzilla, "Les Aventures de Flynn Carson" "The Librarian" en VO nous invitent à revivre la folle expérience de la indianajonesploitation à travers trois opus. Qui est Flynn Carson ? Un étudiant brillant qui obtient un poste de conservateur dans une bibliothèque publique, où on le charge de protéger quelques-uns des plus grands trésors de l'Histoire, gardés dans une section secrète de l'édifice. Parmi ces trésors, on compte par exemple le tapis volant d'Ali Baba, la poule aux oeufs d'or, la boîte de Pandore, ou bien la Joconde celle du Louvre étant une réplique, si si. Un jour pourtant, une obscure confrérie parvient à y dérober un des trois morceaux de la "Sainte Lance de la destinée" l'arme avec laquelle le soldat romain Longinus aurait percé le flanc du Christ crucifié. Ni une, ni deux, Flynn Carson se lance à leur poursuite, pour récupérer la relique et empêcher le groupuscule de mettre la main sur les deux parties manquantes. En effet, celui qui viendrait à détenir les trois parties contrôlerait la destinée du monde…Réalisé par Peter Winther, autre collaborateur de Roland Emmerich, "Les Aventures de Flynn Carson le mystère de la lance sacrée" The Librarian Quest for the Spear, 2004 nous emmène ainsi dans la forêt amazonienne avec au programme chutes d'eau, chasseurs de têtes, pont qui s'écroule, pièges mayas etc., puis dans l'Himalaya, dans la vallée mystique de Shangri-La chère à James Hilton. Accompagné par la blonde Nicole, une collègue bibliothécaire experte en arts martiaux, Flynn Carson mettra à profit ses connaissances encyclopédiques pour déjouer les pièges et résoudre les énigmes imaginés par des scénaristes sous forte jaquette DVD dont la police de caractères racole sans scrupules. Au passage, "Flynn Carsen" est bien le nom du héros en VO, qui a été adapté en "Flynn Carson" dans la version défaut d'être très original, ce téléfilm joue volontiers la carte de l'humour et de la connivence avec le spectateur, porté par un Noah Wyle très à l'aise dans le rôle du bibliothécaire aventurier. Diffusé sur TNT, la chaîne du magnat Ted Turner, The Librarian se voit donné une suite deux ans plus tard, "Les Aventures de Flynn Carson le trésor du Roi Salomon" The Librarian Return to King Solomon's Mines, 2006. Après la Lance de la destinée, la quête suivante nous emmène ainsi à la recherche des mines du roi Salomon, un labyrinthe légendaire où le monarche cachait un fabuleux trésor, dont le bien le plus précieux était un antique manuscrit connu sous le nom de "Clé de Salomon". Un puissant artefact qui, selon la légende, recèlerait le moyen de contrôler les enfers et de fausser l'espace et le temps…Dans la foulée suivra encore le foutraque "Les Aventures de Flynn Carson Le secret de la coupe maudite" The Librarian The Curse of the Judas Chalice, 2008, dans lequel le bibliothécaire, hanté par d'étranges rêves, ira trimballer sa mine de p'tit futé en Nouvelle-Orléans où il découvrira l'existence d'une conspiration menée par le plus célèbre des vampires le Prince Vlad Dracul en personne !. Entre deux vannes, le héros s'emploiera cette fois-ci à protéger le calice de Judas - la relique du jour - et, accessoirement, à sauver une humanité qui comme d'habitude ne se doute de 2008, tout s'accélère puisque les deux franchises qui mènent la danse - Indiana Jones et La Momie - sortent cette année-là un nouveau film voit ainsi débouler un "La momie - La tombe de l'empereur dragon" The Mummy Tomb of the Dragon Emperor, 2008 qui nous emmène cette fois en Chine en 1946, et dans lequel Brendan Fraser affronte en famille avec madame et leur fiston la momie de l'Empereur Han, de la dynastie des Qin, réveillée par le diamant appelé "L'Oeil de Shangri-La". La recette est immuable, avec des situations aux méchants airs de déjà vus un tombeau multi-piégé à l'ancienne, le père blessé que le fils doit emmener à la fontaine de jouvence façon "Indiana Jones et la Dernière Croisade" et une galerie de personnages qui n'évolue guère le père et le fils d'abord fâchés puis copains comme cochons, l'aviateur casse-cou porté sur la bouteille, l'inévitable traître, sans oublier l'éternel sidekick comique.Même l'aspect "creature movie" de cet opus se révèle balourd, entre une bande de gentils yétis et un empereur zombie qui, sans réelle justification, se transforme tantôt en dragon, tantôt en une mocheté évoquant un recalé du casting de "Max et les maximonstres". Bref, du grand spectacle familial et routinier dans lequel s'égarent Jet Li, Michelle Yeoh et Anthony Wong, mis en boîte par un Rob Cohen réalisateur des épisodes 1 et 3 de la franchise "xXx" qui déroule son cahier des charges sans grande surprise, et ponctué par une fin ouvrant tout grand la porte à un quatrième film, qui devrait se dérouler au Pérou. A moins que les scores médiocres 102 millions de dollars de recettes aux USA pour un budget de 145 millions n'hypothèquent cet hypothétique "The Mummy 4 Rise of the Aztec".La grosse sortie de 2008, c'est surtout celle de "Indiana Jones et le Royaume du crâne de cristal" Indiana Jones and the Kingdom of the Crystal Skull. Nous sommes en 1957, en pleine Guerre Froide. En compétition directe avec des agents soviétiques, Indie se lance au Pérou sur la piste du Crâne de Cristal de l'ancienne cité maya d'Akator, l'artefact archéologique ultime, tellement ultime que celui qui le possède et en déchiffre les énigmes s'assure du même coup le contrôle absolu de l'univers… rien que ça !Harrison Ford, sorti de sa maison de retraite pour un grand film d'aventures retour d'Indiana Jones était attendu. Trop sans doute. Spielberg et Lucas se sont contentés de reprendre la même vieille recette, grossièrement assaisonnée à la sauce X-Files un temple antique et ses trésors piégés, quelques bestioles serpent, scorpions, fourmis, auxquels on serait tenté d'ajouter un running-gag foireux à base de marmottes, et l'inévitable catalogue de personnages et situations odieusement stéréotypés l'ami de toujours devenu traître, qui sera finalement victime de sa cupidité, les méchants Soviétiques hyper-caricaturaux etc.. Les jeunes fans qui ont grandi avec Indie dans les années 80 sont aujourd'hui des adultes. Pour se mettre dans la poche ce coeur de cible, on accole au héros une Madame Indiana Jones une Karen Allen de près de 60 balais exhumée des "Aventuriers de l'arche perdue" et un Indiana Jones Jr Shia LaBeouf, sans doute amené à prendre la relève pour les prochains opus. A l'instar du concurrent "La Momie 3", la grande aventure se vit donc en famille ! Eh oui, les temps changent...Une allégorie made in South Park qui résume le sentiment de nombreux spectateurs Indiana Jones violé par Steven Spielberg et George Lucas !Avec son scénario bidon à base d'extraterrestres, ses rebondissements aussi "hénaurmes" que prévisibles et son Harrison Ford quasi-grabataire 66 prunes au compteur quand même, le film de Spielberg aura laissé un goût amer dans la bouche des fans de la première heure. On ne peut même pas se dire que c'est un mal pour un bien, puisque le film n'est pas non plus un nanar. Nous n'y verrons donc qu'un seul intérêt a posteriori redonner un coup de fouet au phénomène de l'indianajonesploitation !Budget 185 millions $. Recettes ciné USA 317 millions de $. Recettes totales à travers le monde 783,7 millions $ 576 millions d'euros. De quoi motiver la mise en chantier d'un cinquième film…Ce fut chose faite, notamment sous l'impulsion des petits futés de The Asylum, grands spécialistes du mockbuster qui reprirent l'idée qu'eurent Golan & Globus 25 ans plus tôt, et bien d'autres par la suite, en réadaptant le héros gratuit Allan Quatermain. "Allan Quatermain and the Temple of Skulls" 2008, de Mark Atkins, se regarde ainsi d'un oeil distrait, comme l'un des derniers rejetons d'une vague d'avatars disparates, produits aux quatre coins du monde, illustrant le concept de cinéma d'exploitation au sens le plus vénal mais aussi le plus réjouissant du terme."Indiana Jones", "Allan Quatermain", "Skulls", un fouet, un chapeau, une tribu de sauvages... c'est bon, tout y est !En 2008 encore, outre un "Flynn Carson 3" évoqué plus haut, on recense également un petit nouveau dans la grande famille des aventuriers archéologues Jack Hunter. Ce jeune clone de Indiana Jones il vit à l'époque contemporaine mais porte un borsalino comme qui vous savez est le héros propret d'une mini série de trois téléfilms de 90 minutes chacun, diffusés en France sur M6 les 28, 29 et 30 décembre 2009. Dans le premier, "Jack Hunter et le trésor perdu d'Ugarit" Jack Hunter and the Lost Treasure of Ugarit, 2008, l'aventurier se lance à la recherche d'une précieuse tablette, exhumée de l'antique cité mésopotamienne d'Ugarit par un ami et collègue, assassiné suite à sa tout bon chasseur de trésor hyper-formaté, Jack Hunter se lance dans l'aventure tout public accompagné des stéréotypes habituels, à savoir la brune Nadia, collègue archéologue et faire-valoir de charme, et le navrant Tariq, sidekick comique pas drôle, tous ayant à faire face à la némésis de service, le vil Albert Littman qui travaille pour la mafia russe. Cet épisode est du même calibre que les deux suivants, "Jack Hunter et le tombeau d'Akhenaton" Jack Hunter The Quest For Akhenatens Tomb et "Jack Hunter et l'œil de l'astre" Jack Hunter and the Star of Heaven. De purs produits ultra-standardisés, lisses et sans imagination, qui poursuivent sagement un unique objectif faire un divertissement "à la Indiana Jones" pour remplir les grilles des programmes 2008 toujours, la chaîne Sci-fi Channel produit "L'Enigme du Sphinx" Riddles of the Sphinx, 2008 de George Mendeluk, un téléfilm qui racole à la fois du côté du dernier "Indiana Jones" et de "La Momie 3", tous les deux sortis la même année. Au cours de leurs explorations, une astronome et un spécialiste en cryptographie libèrent accidentellement un sphinx, créature mythologique à tête humaine et corps de lion. Pour survivre et enfermer à nouveau la créature dans sa tombe, ils n'ont qu'une seule solution déchiffrer une série d'énigmes complexes et potentiellement mortelles… Inspiration en berne, interprétation fade, effets spéciaux fauchés, intrigue sans surprises on tient là encore un produit de consommation courante, sans âme ni génie, à réserver aux seuls amateurs de navets estampillés Sci-Fi et d'aventures sans 2010, on prend les mêmes ingrédients et on recommence avec "Jack Wilder et la mystérieuse cité d'or" alias "El Dorado - La cité d'or", un feuilleton TV en deux épisodes "El Dorado - Temple of the Sun" et "El Dorado - City of Gold", 2010 dans lequel Shane West interprète l'inévitable héros aventurier archéologue au nom qui claque comme un coup de fouet Jack Wilder. La formule est encore et toujours la même le meilleur ami du héros vient de mourir, son journal révèle qu'il menait des recherches sur un mystérieux calendrier sacré, caché au Pérou par les Incas, et donnant accès à une antique cité d'or. Ni une ni deux, le héros se lance dans l'aventure, accompagné par une donzelle et un sidekick cabotin pour les habituelles courses-poursuites, pièges, chausses-trappes et décors en carton-pâte déjà vus mille fois auparavant. La routine !Il existe quantités d'autres titres que nous n'avons pas pu voir, mais qui mériteraient un coup d'oeil au vu de leur pitch, comme la comédie d'aventures "L'amour de l'or" Fool's Gold, 2008, de Andy Tennant, ou "Treasure Raiders" 2007 vanity-project à la gloire d'Alexander Nevsky que réalise Brent Huff acteur principal de "Gwendoline", vu également dans "American Ninja" et qui semble vouloir nous rejouer Indiana Jones en phénomène semble relancé jusqu'en Asie, avec par exemple un film comme le coréen "Once Upon a Time in Korea" 2008, de Yong-ki Jeong, dont le scénario réunit tous les élément d'un bon ersatz d'Indiana Jones. Nous sommes en 1944, et le pays du matin calme est sous le joug de l'occupant japonais. Lors de fouilles entreprises par les Nippons, un énorme diamant appelé "Lumière de l'Orient", autrefois rattaché à une statue bouddhique sise dans la grotte de Seokkuram, est extrait de la tombe d'un Empereur de la Corée antique. Il s'agit d'une très ancienne relique locale, qui symbolise l'indépendance éternelle de la nation coréenne. Dès lors, différentes factions vont s'échiner à récupérer le précieux artefact un groupe de voleurs, la résistance coréenne et l'armée impériale du patriotisme pompier de rigueur et d'une caractérisation des personnages toujours aussi plate une belle en détresse plus potiche que jamais, des méchants Japonais archi-caricaturaux, "Once Upon a Time in Korea" constitue un divertissement léger, sans surprises mais néanmoins correct, avec une production design qui tient la route comme souvent chez les Coréens, costumes, décors, éclairage etc. sont à la hauteur. A recommander aux fans de caper-movies historiques et de comédies d'aventures…Autre signe de relance en Asie "The Treasure Hunter" Ci Ling, 2009, de Yen-ping Chu. Adapté d'une bande-dessinée chinoise, ce film taïwanais à gros budget met en vedette un duo composé de l'aventurier Ciao Fei Jay Chou et de l'archéologue Hua Dingbang Daoming Chen, qui s'emploient à récupérer une carte très ancienne dérobée par un groupe criminel. Cette carte mène bien évidemment à un fabuleux trésor, enfoui dans les ruines de dynasties jadis prospères, situées quelques part dans le désert du Nord-Ouest de la Chine. Autant le mentionner tout de suite "The Treasure Hunter" est un gros ratage. On est en fait en présence d'un cross over, qui mélange un nombre impressionnant d'éléments disparates extrêmement mal un mix entre le "Dr Waï" évoqué plus haut une romancière va vivre des aventures dignes de ses romans, "Time Rider" le héros pourchassé en moto dans le désert par des bandits à chevaux, "La Momie" avec un combat contre une momie volante et Indiana Jones bien sûr le héros utilise même un fouet, le tout mâtiné de kung-fu, de fantastique il est question de voyage dans le temps et de romance sucrée. Un tel bric-à-brac aurait pu donner un résultat un peu fou le film est malheureusement sans envergure, la faute à un scénario bâclé farci de scènes de remplissage, à des personnages archi-stéréotypés le héros tourmenté, la belle en détresse, le mentor au passé trouble, sans oublier l'infâme sidekick comique de service interprétés par une ribambelle d'acteurs dépourvus de tout Inde, où les producteurs sont toujours enclins à s'inspirer des grosses machines hollywoodiennes du moment, on mentionnera l'existence de "Aashayein" 2010, une comédie dramatique très éloignée de l'univers d'Indiana Jones, si ce n'est son affiche trompeuse et sous très forte influence !Cette nouvelle vague de films n'a pas non plus épargné la France, où Luc Besson a pris le train en marche et réalisé en 2010 "Les Aventures extraordinaires d'Adèle Blanc-Sec", librement adapté des bandes-dessinées signées Jacques Tardi. Si l'on se base sur le pitch, on est là encore en terrain connu, puisqu'on évolue dans un passé rétro Paris en 1911, avec une héroïne, Adèle Blanc-Sec, qui est journaliste-romancière comme la compagne de Brendan Fraser dans la trilogie de "La Momie", comme l'héroïne d'"A la poursuite du diamant vert" et sa suite, comme le "Dr Waï" ou l'héroïne du "Treasure Hunter" évoqué supra et va vivre des aventures en pays étranger l'Egypte et ses tombeaux millénaires pour y retrouver la momie d'un médecin de l'Antiquité, la ramener à la vie et lui demander de sauver sa soeur une première partie flirtant ouvertement avec la "momieploitation", on réalise bientôt que "Les Aventures extraordinaires d'Adèle Blanc-Sec" est en fait lui aussi un bon gros cross over ça semble être la mode de mélanger les genres. Doté d'un budget confortable sans être pharaonique 25 millions d'euros, Besson emballe une histoire qu'on pourrait très schématiquement décrire comme un mix entre "La Momie", "Le Fabuleux destin d'Amélie Poulain" pour certains traits de l'héroïne, l'intro narrée par une voix off qui force la connivence et l'espièglerie, la bande-son primesautière et le Paris d'époque conforme aux clichés touristiques - de quoi plaire au public étranger sans doute avec un zeste de "Jurassik Park", ou plutôt d'"Une Nuit au musée" pour le ptérodactyle qui éclôt de son oeuf fossilisé dans le Muséum National d'Histoire Naturelle.Si les Indiana Jones et autres Momie intégraient une bonne dose d'humour à leur formule, "Les Aventures extraordinaires d'Adèle Blanc-Sec" choisit carrément de ne pas se prendre au sérieux, désamorçant ainsi un ridicule souvent à l'affut. L'interprétation est plus que correcte, la réalisation assure l'essentiel, le rythme est allègre, bref Besson livre un divertissement honnête dans les limites restreintes du grand spectacle familial. Et on a beau ne pas être grand fan du mogul d'Europa Corp, on n'est pas non plus du genre à bouder notre plaisir, aussi coupable nous réserve l'avenir ? Des titres mineurs se profilent pour 2011, comme "The Lost Medallion The Adventures of Billy Stone". On voit déjà pointer à l'horizon un "Benjamin Gates 3" National Treasure 3, 2011, dans lequel Nicolas Cage se rendra depuis la mystérieuse Île de Pâques jusqu'à la mythique cité d'Atlantide, engloutie sous la mer, et où se trouverait une étrange source d'énergie. On sait également qu'un "Indiana Jones 5" est en projet pour 2012, et pourrait lui aussi évoquer l'Atlantide, à moins que ce ne soit le Triangle des Bermudes. Quant à "The Mummy 4 Rise of the Aztec", aux dernières nouvelles il était lui aussi prévu pour 2012. De quoi donner donner du grain à moudre aux opportunistes, grâce auxquels, gageons-le, la indianajonesploitation a encore de beaux jours devant somptueuses affiches made in jaquette d'un DVD pirate chinois, bel exemple de n'importe quoi une blonde encapuchonnée qui sort d'on ne sait où, un Indiana Jones qui tient une épée que vous ne trouverez dans aucun film de la franchise et, en bas, un bout d'affiche du Seigneur des anneaux avec notamment l'oeil de Jones et l'anglais maudit les aventuriers du résumé perdu !Histoire d'au moins les citer dans ce dossier, on signalera enfin qu'il existe bien évidemment aussi des séries télé inspirées par le succès d'Indie. Outre la série "Les Aventures du jeune Indiana Jones", on peut évoquer par exemple le sympathique "Jake Cutter" Tales of the Gold Monkey, 1982-1983 et surtout "Sydney Fox l'aventurière" Relic Hunter, 1999–2002, sorte de fille illégitime d'Indiana Jones et Lara et fin de ce dossier à lire ICI, avec les parodies érotiques et pornographiques, et les jeux vidéo.
Un peu cryptique, mon titre, non? Moi, j'aime bien. Bref. Parmi mes bonnes résolutions pour l'année 2010, il y avait celle d'apprendre à utiliser à fond le langage SQL. Pour ce faire, j'ai passé il y a quinze jours une bonne heure à la librairie Eyrolles pour trouver un livre suffisamment complet, pédagogique et pas trop axé sur un système de gestion de bases de données précis la plupart des bouquins ne s'intéressent qu'à mySQL, alors que j'ai plutôt opté pour SQLite. J'ai fini par renoncer à employer un manuel français rien trouvé de bien convaincant - d'ailleurs j'ai déjà plusieurs titres français sur la question dans ma bibliothèque et, justement, ils ne m'ont pas convaincu et j'ai jeté mon dévolu sur Learning SQL, d'Alan Beaulieu, chez O'Reilly oui, j'aime bien O'Reilly; et je ne suis pas le seul, ISBN 978-0-596-52083-0, avril 2009 pour la seconde édition zen chercherez, des blogs qui vous donnent des références aussi précises.Le bouquin est très clair et pédagogique, parsemé d'humour ce qui ne gâte vraiment rien. Il est construit autour d'une base de données abondante et savamment emberlificotée, qu'on peut se procurer sur le site d'O'Reilly pour ensuite tester des manips avec mySQL. C'est une excellente idée, mais il s'agit bien sûr de données bidon clients bidon, adresses bidon, produits bidon, numéros de téléphone bidon - alors qu'on ne progresse jamais autant dans la maîtrise des bases de données qu'en traitant des données réelles, toujours truffées d'exceptions et de cas particuliers. J'adore ça, et d'autant plus que je sais que la plupart des informaticiens gèrent ces exceptions tout simplement en les ignorant - ce qui, à mon sens, démontre bien qu'ils sont loin d'être aussi intelligents qu'ils ne souhaiteraient le faire croire. Et si vous trouvez que j'exagère, regardez donc sur votre chéquier comment les informaticiens de votre banque ont noté votre adresse je vous parie à dix contre un qu'elle est écrite toute en majuscules et sans accents. Ah ouais, les accents, c'est une vraie galère à gérer, surtout quand l'informaticien est une brêle - et c'est très généralement le cas comme vous pouvez le voir si même les kadors que s'offrent la BNP et Natixis sont infoutus de noter un c cédille, ça vous donne une idée de ce que le clampin moyen serait capable de faire avec une bien moi, j'aime les exceptions, les cas foireux, les trucs qui rentrent pas dans les cases. Dans le cas de ma DVDthèque, j'aime les films qui ont plusieurs titres qui s'appellent "Wild at Heart" in English et "Sailor et Lula" en français, par exemple, j'aime les "coffrets Paul Newman" enfermant dans un contenant unique "la Chatte sur un toit brûlant", "Doux oiseau de jeunesse" et "le Gaucher", j'aime les dynasties d'acteurs Kirk et Michael Douglas, Henry et Jane Fonda... qui forcent à noter les prénoms, j'aime les trilogies avec 3 DVD dans la même jaquette, j'aime les noms à coucher dehors du genre Krzysztof Kieślowski auteur d'une jolie trilogie, justement... Et j'affirme en toute tranquillité d'âme que l'informaticien qui fait la grimace en entendant ça, au lieu de s'enthousiasmer devant la difficulté, est une J'y travaille. J'ai passé la journée d'hier à constituer un inventaire exhaustif des films et des jaquettes ce qui n'est pas du tout la même chose, d'abord en lisant à voix haute devant mon dictaphone ce que je pouvais lire sur la tranche de tous mes DVD la jolie photo illustrant cette notule représente l'un des 20 rayonnages de ma DVDthèque, mais il y a bien sûr aussi des caisses, des cartons et même des tas, puis en tapant tout ça avec mes petits doigts agiles sur emacs, puis en le faisant bouffer à Calc, puis en le convertissant en CSV, puis en le convertissant en SQL. Eh bien, une journée m'a suffi pour répertorier dans les 600 titres dont seulement 360 installés proprement sur des rayonnages, tous achetés légalement bonjour madame Hadopi à une seule exception près 1 chic, encore une exception. Tiens, pour le même prix, je vais vous filer la liste, ça attirera sur ce blog plein de trafic, nyark nyark nyark, et par ailleurs ça me permettra de la retrouver dans n'importe quel vous reparlerai certainement de cette superbe base de données, mais pour le moment, je conclus cette notule avec la fameuse liste. A bientôt!12 hommes en colère, 1926 Vidéo anniversaire, 20 000 lieues sous les mers, 2001, l'odyssée de l'espace, 3 âges les -, 36, quai des Orfèvres, 37°2 le matin, 4 mariages et un enterrement, 4e étage le -, 8 femmes, 9 semaines 1/2, A bout de souffle, A l'est d'Eden, A la poursuite du diamant vert, A la rencontre de Forrester, A propos d'Henry, A travers le miroir, Abbé Grégoire l'-, Accords et désaccords, Addicted to Love, Affaire de goût une -, Age de glace l'-, Agrippine 1, Ah! Si j'étais riche, Albert est méchant, Alexandre Nevski, Alien, Allan Quatermain et la cité de l'or perdu, Amadeus, Amants du nouveau monde les -, Amour & mensonges, Amour à New York un -, Américain à Paris un -, Anastasia, Animal Kingdom the -, Antitrust, Apollo 13, Apparences, Aprile, Arcimboldo, Aristocats the -, Arnaque l', Arrête-moi si tu peux, Associé l' -, Associé du diable l'-, Associés les -, Attention, bandits, Au nom d'Anna, Auberge espagnole l'-, Austin Powers, Autant en emporte le vent, Aventures de Blake et Mortimer les -, Aventuriers de l'arche perdue les -, Avocat du diable l'-, Babel, Bad Company, Bad Timing, Bambi, Barber the -, Barton Fink, Basic Instinct, Be Happy, Bee Movie, Better off dead, Bienvenue chez les chtis, Bienvenue à Gattaca, Big Lebowski the -, Big Town the -, Billy Elliott, Blake et Mortimer, Blanc, Blessures assassines les -, Blessures assassines les -, Blessures secrètes, Bleu, Blink, Blue Steel, Blue Velvet, Bodin's, mère et fils les -, Bombon el perro, Bon, la brute et le truand le -, Borat, Boucher le -, Boulevard du crépuscule, Bounty le -, Bouteille à la mer une -, Boys, Brasil, Brigadoon, Broken Flowers, Buster Keaton, l'intégrale des courts métrages 1917-1923, Bûcher des vanités le -, Cadavres ne portent pas de costard les -, Cadet d'eau douce, Cage aux rossignols la -, Caire nid d'espions le -, Calculs meurtriers, Candidat le -, Canonnière du Yang-Tse la -, Caramel, Carnaval des animaux le -, Carrie, Cars, Casablanca, Cashback, Casino, Central do Brasil, Cercle rouge le -, Chambre du fils la -, Chantons sous la pluie, Chaplin, Charlie Chaplin, Charlotte Gray, Chasse aux sorcières la -, Chatte sur un toit brûlant la -, Chevauchée fantastique la -, Chicken Run, Chinatown, Chocolat le -, Choses secrètes, Chute la -, Chute libre, Chèvre la -, Cinq cartes à abattre, Cinéma Paradiso, Cirque le -, City Hall, Cité des anges la -, Coffret Paul Newman, Colors, Combien tu m'aimes?, Comment se faire larguer en 10 leçons, Comtesse aux pieds nus la -, Comédies musicales, Constant Gardener the -, Conte de Noël un -, Corps impatients les -, Corps à corps, Corto Maltese, Couleur du mensonge la -, Cri dans la nuit un -, Cria cuervos, Crime et châtiment, Cris et chuchotements, Cyrano de Bergerac, Dame du vendredi la -, Dames de Cornouailles les -, Dead Man, Dead zone, Demoiselles de Rochefort les -, Dernier Empereur le -, Dernière croisade la -, Desperate Hours, Dialogue avec mon jardinier, Dilettante la -, Docteur Jivago le -, Dogville, Don Juan, Donnie Brasco, Doublure la -, Doux oiseau de jeunesse, Douze salopards les -, Dragon l'arnaque, Duplicity, Déclin de l'empire américain le -, Désaccord parfait, Détective privé, Détonateur le -, Dí buen día a papá, Eclair de lune, Edith Piaf, Edith et Marcel, Effroyables jardins, Eglises de France, Ile-de-France 1, Elle voit des nains partout, Emmerdeur l'-, Empereur et l'assassin l'-, Emprise l'-, En direct sur Ed TV, En face, En suivant la flotte, En toute bonne foi, Enchaînés les -, Ennemis rapprochés, Enquête l'-, Ensorcelés les -, Epouses et concubines, Erin Brockovich, Escale à Hollywood, Escroc malgré lui, Escrocs mais pas trop, Et au milieu coule une rivière, Eternal Sunshine of the Spotless Mind, Etoile est née une -, Etre et avoir, Etreintes brisées, Excès de confiance, Existenz, Eyes Wide Shut, Fabuleux destin d'Amélie Poulain le -, Family Man, Fargo, Farinelli, Fauteuils d'orchestre, Feet first, Femme infidèle la -, Femmes au bord de la crise de nerfs, Fenêtre secrète, Festen, Fille de d'Artagnan la -, Fish and Chips, Fitzcarraldo, Fleur de mon secret la -, Flight Plan, Flûte enchantée la -, Fontaine d'Aréthuse la -, Fous d'Irène, France la -, France Boutique, Frankenstein Junior, French Connection, Furyo, Féline la -, Gandhi, Garde à vue, Garçonnière la -, Gattaca, Gaucher le -, General the -, Ghost, Girls les -, Gladiator, Golden Door, Gone du Chaâba le -, Good Advice, Good German the -, Good bye, Lenin, Gouttes d'eau sur pierres brûlantes, Goût de la vie le -, Goût des autres, Gran Torino, Grand Day Out a -, Grand siècle français le -, Grand sommeil le -, Grande excursion une -, Grande illusion la -, Grande évasion la -, Guerre des mondes la -, Guerre des étoiles la -, Guillaume le conquérant, Géant de fer le -, Habit vert l'-, Hamlet, Hannibal, Happy Feet, Harold et Maude, Harrisson's Flowers, Harry, un ami qui vous veut du bien, Henry and June, High School Musical, Hoffa, Hollywood Homicide, Hollywood Sunrise, Home, Homme d'exception un -, Homme de la rue l'-, Homme pour l'éternité un -, Homme qui en savait trop l'-, Hours the -, Héritage de la haine l'-, I am Dina, I am Sam, Ice Storm, Il faut sauver le soldat Ryan, In her Shoes, In the Mood for Love, Incorruptibles les -, Incroyable destin de Harold Crick l'-, Indestructibles les -, Indiana Jones, Indochine, Inside Man, Insoutenable légèreté de l'être l'-, Inspector Morse, the Complete Series 1, Instincts meurtriers, Intelligence artificielle, Intern, Intolérable cruauté, Itinéraire d'un enfant gâté, partagerait appartement, JFK, Jacquou le croquant, Jambon jambon, Janis et John, Je suis une légende, Je vais bien, ne t'en fais pas, Jeux d'adultes, Joue-la comme Beckham, Jour d'après le -, Jour sans fin un -, Jour à New York un -, Kagemusha, Ken Park, Kid the-, Kika, Kill Bill, Ladybird, Land and Freedom, Lauréat le -, Lawrence d'Arabie, Lettre écarlate la -, Liaisons dangereuses les -, Liberté-Oléron, Liens du sang les -, Lignes de vie, Linda di Chamounix, Liste de Schindler la -, Little Miss Sunshine, Lièvre de Vatanen le -, Lord of War, Lost in translation, Love Nest the -, Lucky Luke, MIB, Ma meilleure ennemie, Ma mère, Macadam Cowboy, Mad Dog and Glory, Madagascar, Madame Doubtfire, Mado, Mafia blues, Maigret et l'affaire saint-Fiacre, Main sur le berceau la -, Maison Russie la -, Maison sur l'océan la -, Malabar Princess, Malena, Man to man, Manipulations, Marie Antoinette, Marqué par la haine, Mars attacks!, Master and Commander, Matrix, Mauvais pantalon un -, Mauvaise éducation la -, Maybe Baby, Maître du jeu le -, Me Myself I, Mean Streets, Melinda et Melinda, Memento, Men in Black, Menteur menteur, Merci pour le chocolat, Meurtre en suspens, Meurtres par intérim, Michel Audiard le DVD, Microcosmos, Micropolis, Midnight Express, Millenium, Miller's Crossing, Million Dollar Baby, Minuit dans le jardin du bien et du mal, Mission, Moby Dick, Molière, Mon beau-père et moi, Mon beau-père, mes parents et moi, Monde parfait un -, Monte là-dessus, Monty Python's Flying Circus, Mort aux trousses la -, Mort d'un commis voyageur, Mother's boys, Mr. and Mrs Smith, Mulholland Drive, My Fair Lady, Mystic River, Mystère de la grande pyramide le -, Mécano de la "Générale" le -, Mélodie du bonheur la -, Mémoire effacée, Môme la -, Nadia, Nell, Neuvième porte la -, Ni pour ni contre bien au contraire, Nightmaster, Nixon, Nom de la rose le -, Nombre 23 le -, Norma Rae, Nos voisins les hommes, Notorious, Nous nous sommes tant aimés, Nouveau protocole le -, Nouvel espoir un -, Nouvelle Eve la -, Nouvelles aventures de Lucky Luke les -, Nuits blanches à Seattle, Nuits de Harlem les -, OSS 117, Le Caire nid d'espions, Odette Toulemonde, Oiseaux les -, Ombre d'un doute l'-, Ombre d'un soupçon l', One Eyed Jacks, Orange mécanique, Ordinary Decent Criminal, Ouragan sur le Caine, Out of Africa, Palmes de M. Schutz les -, Panic Room, Papillon le -, Pardon Us, Partir, revenir, Party the -, Pas un mot, Patient anglais le -, Permanent Midnight, Persépolis, Petites confidences à ma psy, Petits meurtres entre amis, Peuple migrateur le -, Phare du bout du monde le -, Photo Obsession, Pianiste la -, Pierrot le fou, Piste la -, Pixar, la collection des courts métrages, volume 1, Piège le -, Piège en eau trouble, Placard le -, Playboy à saisir, Playtime, Point limite, Poisson nommé Wanda un -, Polly et moi, Pont de la rivière Kwai le -, Porte du Paradis la -, Portrait of a Lady the -, Pour l'amour de l'art, Primary Colors, Procès Paradine le -, Président, Président le -, Présumé innocent, Prêt-à-porter, Psychose, Pulp Fiction, Pulsions, Père Noël est une ordure le -, Père Noël est une ordure le -, Quai des orfèvres, Quand la panthère rose s'emmêle, Quatre garçons dans le vent, Queen the -, Quel pétard!, Qui veut la peau de Roger Rabbit?, Rain Man, Raining Stones, Raisins de la colère les -, Rantanplan volume 1, Rasé de près, Rebecca, Red Corner, Redemption, Respiro, Retour vers le futur, Retour à Cold Mountain, Riff Raff, Ripoux les -, Rivière sans retour, Rivière sauvage la -, Rob Roy, Robinson Crusoe, Robocop, Robots, Rois de la glisse les -, Rois du désert les -, Rome ville ouverte, Rouge, Route semée d'étoiles la -, Rox et Rouky, Rush, Ruée vers l'or la -, Règlements de comptes à OK Corral, SOS Fantômes, SOS Fantômes 2, Safety Last!, Sans toit ni loi, Scarlet Letter the -, Sciuscià, Scoop, Selon Charlie, Sens de la vie le -, Sentiers de la perdition les -, Sept ans au Tibet, Sept ans de réflexion, September, Septième sceau le -, Seul au monde, Sex fans des sixties, Shall We Dance, Shining, Shortcuts, Show girls, Shrek, Shrek 2, Shrek le troisième, Silence des agneaux, Silence des innocents le -, Silent Movie, Singing in the Rain, Singles, Slap Shot, Soeurs fâchées les -, Something's Gotta Give, Son de mar, Sonate d'automne, Sortilège du scorpion de jade le -, Souris City, Sous le sable, Sous les verrous, Space Cowboys, Spagnola la -, Stand By Me, Star Wars, un nouvel espoir, Starship Troopers, Strange Days, Stromboli, Sur mes lèvres, Swimming with Sharks, Swing Time, Syndrome chinois le -, Tailor of Panama the -, Tais-toi!, Take the Money and Run, Talons aiguilles, Taxi, Temple maudit le -, Terminal le -, Terminator 2, le jugement dernier, Terre-Neuve, Tex Avery, Textiles les -, Thelma et Louise, There Will Be Blood, Thierry le Luron à Marigny, Thé au Sahara un -, To be or not to be, Toile d'araignée la -, Tombe les filles et tais-toi, Tombstone, Tontons flingueurs les -, Top Gun, Top Hat, Tour du monde en 80 jours le -, Tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil, Tout peut arriver, Tout sur ma mère, Toy Story, Train sifflera trois fois le -, Traversée de Paris la -, Treize jours, Trois couleurs, Tron, Truman Capote, Truman Show the -, US Marshalls, Uns et les autres les -, Usual Suspects, Vaillant, pigeon de combat, Vanilla Sky, Vent se lève le -, Vestiges du jour les -, Vie de David Gale la -, Vie des autres la -, Vie est belle la -, Vie inachevée une -, Vie moderne la -, Vie à deux une -, Ville portuaire, Virgin Suicides, Visite de la fanfare la -, Visiteurs du soir les -, Viva la vie, Vol au-dessus d'un nid de coucou, Voleur de Bagdad le -, Voyages extraordinaires de Jules Verne les -, Vérité nue la -, Vérité qui dérange une -, Vérité si je mens! la -, Vérité sur Charlie la -, Wall E, Wallace and Gromit, Witness, World Trade Center, X files - le film the -, Y a-t-il un flic pour sauver l'humanité?, Y a-t-il un flic pour sauver la reine?, Y a-t-il un flic pour sauver le président?, Y a-t-il un pilote dans l'avion?, merde, j'ai les Blessures assassines en double! S'il y a parmi mes millions de lecteurs un fan de Sylvie Testud qui n'aurait pas déjà ce titre pourtant incontournable la preuve je l'ai acheté deux fois, qu'il m'écrive un commentaire avec ses coordonnées je trouverai bien un moyen de le lui refiler et tout le plaisir sera pour moi.1 Dí buen día a papá, film bolivien tellement diffusé hors des circuits commerciaux qu'il n'en existe pratiquement que des versions piratées. En plus, c'est un cadeau.
allan quatermain et la pierre des ancêtres film complet